Kehilat Kedem
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Foire aux questions

Généralités

J’aimerais en savoir plus sur le judaïsme; comment faire ?

Il vous suffit de nous contacter. Nous pourrons en parler tout simplement, sans aucune obligation, et surtout sans aucune tentative de vous convaincre de quoi que ce soit. Vous pourrez aussi assister à des offices, ou encore à des études, pour vous rendre compte de ce à quoi ça ressemble en réalité.

Qu’est-ce que Kehilat Kedem ?

Kehilat Kedem est une synagogue et une communauté juive libérale, se situant à Montpellier, dans le sud de la France. Kehilat Kedem appartient au mouvement juif progressiste mondial, ainsi qu’à Judaïsme en Mouvement.

Le judaïsme

J’aimerais en savoir plus sur le judaïsme; comment faire ?

Il vous suffit de nous contacter. Nous pourrons en parler tout simplement, sans aucune obligation, et surtout sans aucune tentative de vous convaincre de quoi que ce soit. Vous pourrez aussi assister à des offices, ou encore à des études, pour vous rendre compte de ce à quoi ça ressemble en réalité.

Que pense le judaïsme de l’homosexualité ?

Tout dépend de quel judaïsme on parle. Le judaïsme orthodoxe et/ou traditionnel rejette non seulement l’homosexualité en tant que pratique, mais également les homosexuels en tant que personnes. Au sein du mouvement juif libéral, dans lequel s’inscrit Kehilat Kedem, ça n’est pas le cas. Nos synagogues sont ouvertes à tous, sans discrimination.
La réponse, plus complète, du rabbin Delphine Horvilleur à cette question :

Informations pratiques

Comment participer à un repas communautaire ?

Les repas communautaires ont généralement lieu après des offices, lors d’occasions particulières. Ils sont indiqués sur le calendrier du site. Pour y participer, il suffit de vous rendre à l’office en question. Chacun porte un plat et une boisson et on partage, tout simplement. Plats kasher et sans viande. 

Dois-je adhérer à l’association pour assister à un office ?

Non. Vous pouvez parfaitement assister à un office sans adhérer à Kehilat Kedem. Si cela devient une habitude, on s’attendra néanmoins à ce qu’au bout d’un moment vous preniez une adhésion à l’association ou fassiez un don. Mais rien d’obligatoire dans un premier temps.

J’aimerais en savoir plus sur le judaïsme; comment faire ?

Il vous suffit de nous contacter. Nous pourrons en parler tout simplement, sans aucune obligation, et surtout sans aucune tentative de vous convaincre de quoi que ce soit. Vous pourrez aussi assister à des offices, ou encore à des études, pour vous rendre compte de ce à quoi ça ressemble en réalité.

Je m’intéresse seulement à un cours ou une activité spécifique : dois-je adhérer à l’association pour y participer ?

Non. Vous pouvez vous inscrire uniquement à l’activité qui vous intéresse. Les membres bénéficient cependant en général d’un tarif préférentiel.

Je n’appartiens pas à Kehilat Kedem mais j’aurais besoin d’un minian pour un événement important. Puis-je vous contacter ?

Oui. N’hésitez pas à nous contacter. Nous ferons de notre mieux pour vous aider, que vous apparteniez ou non à notre synagogue et que vous vous inscriviez ou non dans le judaïsme libéral. Si la chose est possible, essayez de nous prévenir à l’avance.

Je ne dispose que de peu de moyens financiers. Puis-je adhérer à tarif réduit ?

Oui. Si vous n’êtes pas imposable, vous pourrez bénéficier d’un tarif réduit pour votre adhésion. Contactez le trésorier et indiquez votre situation : il fera le nécessaire.

Je ne réside pas à Montpellier; comment assister aux offices ?

Kehilat Kedem organise régulièrement des offices en ligne pour les personnes qui ne sont pas en mesure de se déplacer : consultez le calendrier. Vous pouvez aussi, si vous disposez d’un peu d’espace, proposer d’accueillir chez vous un office hors-les-murs. Contactez-nous pour en parler.

Je ne suis pas juif. Puis-je adhérer à Kehilat Kedem ?

Oui. Kehilat Kedem, en tant qu’association, est ouverte à tous. Toutefois, il s’agit bien d’une association cultuelle, dirigée et gérée par des membres du culte israélite : si vous n’êtes pas juif, vous ne pourrez pas, d’après nos statuts, prendre de rôle dirigeant au sein de l’association, ni appartenir à son conseil d’administration.

Je suis membre d’une communauté ou association (religieuse ou non, juive ou non-juive) qui souhaiterait entrer en dialogue avec des représentants du judaïsme libéral…

Nous sommes intéressés. N’hésitez pas à nous contacter : nous vous répondrons sans problème. Nous pourrons discuter ensemble des contours et modalités d’une éventuelle intervention, de part ou d’autre.

Où se trouve la synagogue Kehilat Kedem ?

Kehilat Kedem se réunit dans divers lieux, selon les besoins, à Montpellier et aux environs. Mais en règle générale, nos offices se déroulent dans Montpellier centre, à proximité de l’arrêt de tramway Nouveau Saint-Roch. N’hésitez pas à nous contacter pour davantage de détails.

Quand les offices ont-ils lieu ?

Nous célébrons a minima un office de kabbalat shabbat par semaine, le vendredi soir à 19h00. Plusieurs fois par mois, nous célébrons également un office le samedi matin. Pour davantage de détails, consultez le calendrier ou la page consacrée aux offices. 

Qui dirige les offices ?

Les offices de Kehilat Kedem sont dirigés soit par des rabbins, soit par des membres de la communauté, selon les cas. La dracha peut également être effectuée par un membre de la communauté qui le souhaite. Si vous souhaitez apprendre à diriger un office, si vous êtes volontaire pour en diriger un ou que vous souhaitez proposer une dracha, contactez-nous. 

Offices

Dois-je adhérer à l’association pour assister à un office ?

Non. Vous pouvez parfaitement assister à un office sans adhérer à Kehilat Kedem. Si cela devient une habitude, on s’attendra néanmoins à ce qu’au bout d’un moment vous preniez une adhésion à l’association ou fassiez un don. Mais rien d’obligatoire dans un premier temps.

Dois-je porter une kipa aux offices ?

Si vous êtes un homme, oui. Nous pouvons vous en prêter une si nécessaire. Si vous êtes une femme, ça n’est pas obligatoire mais vous y êtes autorisée si vous le souhaitez.

J’aimerais assister à des offices mais j’ai des difficultés pour me rendre à Montpellier.

Nous organisons plusieurs fois par an des offices en ligne, à destination des personnes ayant des difficultés à se déplacer. Surveillez l’agenda : ils sont généralement indiqués plusieurs semaines à l’avance.

J’aimerais assurer la dracha lors d’un prochain office participatif.

C’est une bonne idée et un très bon exercice. Parlez-en à l’officiant prévu pour la date en question.

Je ne parle pas l’hébreu et je ne connais pas les chants : puis-je participer à un office ?

Oui. Nos livres de prière sont bilingues et comprennent des translittérations de certains passages hébraïques. Même si nous aimerions beaucoup entendre votre voix, vous n’êtes pas obligé de chanter. Et pour la Amida (moment de prière en silence), vous pouvez parfaitement vous adresser à l’Eternel en français ou dans toute autre langue.

Je ne possède pas de kipa; est-ce un problème pour assister aux offices ?

Pas de problème. Nous avons toujours un petit stock à disposition, pour ceux qui ne possèdent pas de kipa ou pour les étourdis qui ont oublié la leur chez eux.

Je ne suis pas juif. Puis-je assister à un office ?

Bien sûr. Si vous n’êtes pas juif, vous ne compterez pas au minian et ne pourrez pas monter à la Torah. Mais hormis cela, vous pouvez parfaitement assister à un office si vous le souhaitez. En cas de doute quant à ce que vous pouvez ou non faire une fois sur place, rapprochez-vous du rabbin ou de l’officiant présent ce jour-là.

Je suis tatoué. Puis-je tout de même assister à un office ?

Oui. Le tatouage est en effet déconseillé par le judaïsme (il s’agit même d’un strict interdit, dans la Bible). Ne vous attendez donc pas à des félicitations. Mais ne vous attendez pas à une condamnation non plus : vous ne serez ni jugé, ni rejeté en aucune manière. Cela ne vous empêchera ni d’assister aux offices, ni de participer à la vie de la communauté, ni même, si vous le souhaitez, de vous convertir. Nous accueillons tous ceux qui le souhaitent et s’intéressent sincèrement au judaïsme libéral. Car si, en effet, la personne tatouée a transgressé un interdit biblique, n’en sommes-nous pas tous là, pour une raison ou une autre ? Il y a 613 commandements dans la Torah, et il est fort improbable qu’existe une seule personne au monde qui n’en ait jamais transgressé aucun. La réponse, plus complète, du rabbin Yann Boissière :

Peut-on intervenir suite à la dracha ?

Oui. Du moment que votre intervention est polie et étayée, même si elle contredit le commentaire qui vient d’être fait, vous pouvez intervenir. Une dracha est là pour ouvrir un débat ou encourager à la réflexion, pas pour imposer une vérité absolue. Le débat est possible et bienvenu. Le temps dont nous disposons durant les offices étant ce qu’il est, cependant, on essaiera, par égard pour les autres personnes présentes, de rester relativement brefs; si on le souhaite, on pourra aisément poursuivre le débat après la fin de l’office.

Puis-je emmener mes enfants à l’office ?

Bien entendu. Ils sont les bienvenus. Ils ne sont pas obligés d’être sages, peuvent se contenter de participer aux chants qui leur plaisent, et à la fin, ils auront droit à de la brioche et du jus de raisin.

Quand les offices ont-ils lieu ?

Nous célébrons a minima un office de kabbalat shabbat par semaine, le vendredi soir à 19h00. Plusieurs fois par mois, nous célébrons également un office le samedi matin. Pour davantage de détails, consultez le calendrier ou la page consacrée aux offices. 

Qui dirige les offices ?

Les offices de Kehilat Kedem sont dirigés soit par des rabbins, soit par des membres de la communauté, selon les cas. La dracha peut également être effectuée par un membre de la communauté qui le souhaite. Si vous souhaitez apprendre à diriger un office, si vous êtes volontaire pour en diriger un ou que vous souhaitez proposer une dracha, contactez-nous. 

Y a-t-il un « dress code » pour les offices ?

Oui, mais informel. Soyez tzniout, c’est-à-dire décent. Il n’est pas nécessaire de venir dans une tenue particulière (même si certains le font tout de même). Le judaïsme libéral comprend que la notion de décence peut bien entendu être à géométrie variable; en outre, Montpellier est une ville dans laquelle il fait très chaud l’été. Aussi sommes-nous souples quant à cette notion, qui relève de la responsabilité individuelle et du bon sens, plus que de règles écrites dans le marbre. Dans l’ensemble, considérez que si une tenue serait inappropriée pour aller voir votre famille, elle est sans doute inappropriée pour se rendre à l’office également. Il est à noter que la notion de décence concerne tout le monde, hommes comme femmes.

Pratiques

Je suis en couple avec une personne du même sexe. Puis-je venir avec mon conjoint ?

Bien entendu. Kehilat Kedem, en tant que synagogue libérale, ne pratique aucune discrimination en la matière.

Je suis tatoué. Puis-je tout de même assister à un office ?

Oui. Le tatouage est en effet déconseillé par le judaïsme (il s’agit même d’un strict interdit, dans la Bible). Ne vous attendez donc pas à des félicitations. Mais ne vous attendez pas à une condamnation non plus : vous ne serez ni jugé, ni rejeté en aucune manière. Cela ne vous empêchera ni d’assister aux offices, ni de participer à la vie de la communauté, ni même, si vous le souhaitez, de vous convertir. Nous accueillons tous ceux qui le souhaitent et s’intéressent sincèrement au judaïsme libéral. Car si, en effet, la personne tatouée a transgressé un interdit biblique, n’en sommes-nous pas tous là, pour une raison ou une autre ? Il y a 613 commandements dans la Torah, et il est fort improbable qu’existe une seule personne au monde qui n’en ait jamais transgressé aucun. La réponse, plus complète, du rabbin Yann Boissière :

Le judaïsme libéral pratique-t-il des mariages religieux entre personnes de même sexe ?

Pas à l’heure actuelle. Mais le sujet est en débat et les choses pourraient évoluer dans les années à venir.

Mon conjoint n’est pas juif. Peut-il participer aux activités de Kehilat Kedem avec moi ?

Oui, sans aucun problème. Bien qu’une pratique religieuse familiale soit encouragée, il n’est pas nécessaire qu’il se convertisse s’il ne le souhaite pas.

Quand et où les juifs libéraux portent-ils la kipa ?

Il est demandé aux hommes de porter la kipa aux offices. Nous n’avons pas de prescription particulière concernant ce port hors des offices; nous n’encourageons pas le port visible de la kipa, ni d’autres signes religieux ostentatoires, dans l’espace public mais considérons que ce choix relève du jugement de chacun.

Que pense le judaïsme de l’homosexualité ?

Tout dépend de quel judaïsme on parle. Le judaïsme orthodoxe et/ou traditionnel rejette non seulement l’homosexualité en tant que pratique, mais également les homosexuels en tant que personnes. Au sein du mouvement juif libéral, dans lequel s’inscrit Kehilat Kedem, ça n’est pas le cas. Nos synagogues sont ouvertes à tous, sans discrimination.
La réponse, plus complète, du rabbin Delphine Horvilleur à cette question :

Cours

A partir de quel âge puis-je inscrire mon enfant au Talmud Torah ?

A partir de sept ans.

Dois-je être juif pour m’inscrire aux cours proposés par Kehilat Kedem ?

Non. Les cours d‘hébreu biblique, d’introduction au judaïsme ou encore de musar que nous proposons s’adressent à toutes les personnes intéressées par ces sujets, sans distinction. Dans certains cas, un certain bagage de connaissances peut cependant être conseillé.

Je ne vis pas à Montpellier. Puis-je tout de même suivre les cours proposés par Kehilat Kedem ?

Oui. Beaucoup de nos cours sont en visioconférence : vous pouvez y assister quelle que soit votre localisation géographique.

Mon enfant n’est pas considéré comme juif. Puis-je l’inscrire au Talmud Torah ?

Bien sûr. Les cours de Talmud Torah s’adressent à tous les enfants que leurs parents souhaitent pourvoir d’un bagage de connaissances en matière de judaïsme. Les enfants nés d’une mère non-juive et d’un père juif, en particulier, peuvent sans aucun problème suivre les cours de Talmud Torah, même si leur reconnaissance de judaïté n’a pas encore été prononcée.

Enfants

A partir de quel âge puis-je inscrire mon enfant au Talmud Torah ?

A partir de sept ans.

Mon enfant n’est pas considéré comme juif. Puis-je l’inscrire au Talmud Torah ?

Bien sûr. Les cours de Talmud Torah s’adressent à tous les enfants que leurs parents souhaitent pourvoir d’un bagage de connaissances en matière de judaïsme. Les enfants nés d’une mère non-juive et d’un père juif, en particulier, peuvent sans aucun problème suivre les cours de Talmud Torah, même si leur reconnaissance de judaïté n’a pas encore été prononcée.

Puis-je emmener mes enfants à l’office ?

Bien entendu. Ils sont les bienvenus. Ils ne sont pas obligés d’être sages, peuvent se contenter de participer aux chants qui leur plaisent, et à la fin, ils auront droit à de la brioche et du jus de raisin.

Juifs et non-juifs

Dois-je être juif pour m’inscrire aux cours proposés par Kehilat Kedem ?

Non. Les cours d‘hébreu biblique, d’introduction au judaïsme ou encore de musar que nous proposons s’adressent à toutes les personnes intéressées par ces sujets, sans distinction. Dans certains cas, un certain bagage de connaissances peut cependant être conseillé.

Je ne suis pas juif. Puis-je adhérer à Kehilat Kedem ?

Oui. Kehilat Kedem, en tant qu’association, est ouverte à tous. Toutefois, il s’agit bien d’une association cultuelle, dirigée et gérée par des membres du culte israélite : si vous n’êtes pas juif, vous ne pourrez pas, d’après nos statuts, prendre de rôle dirigeant au sein de l’association, ni appartenir à son conseil d’administration.

Je ne suis pas juif. Puis-je assister à un office ?

Bien sûr. Si vous n’êtes pas juif, vous ne compterez pas au minian et ne pourrez pas monter à la Torah. Mais hormis cela, vous pouvez parfaitement assister à un office si vous le souhaitez. En cas de doute quant à ce que vous pouvez ou non faire une fois sur place, rapprochez-vous du rabbin ou de l’officiant présent ce jour-là.

Je suis d’origine juive mais je n’ai pas reçu d’éducation juive; quel est mon statut religieux ?

Cela dépend des cas. Si vous disposez d’une preuve de la judaïté de vos ascendants (par exemple la ketuba de vos parents ou de vos grand-parents), nous vous mettrons en contact avec un Beth Din, qui jugera de ce qu’il est possible de faire. Dans certains cas, vous pourrez immédiatement être reconnu comme Juif. Dans d’autres, on vous proposera une démarche de confirmation de judaïté ou de conversion.

Les conversions consistoriennes sont-elles reconnues au sein de Kehilat Kedem ?

Oui. Le mouvement juif libéral accueille tous les Juifs, quelle que soit leur origine, dès lors qu’ils souhaitent s’inscrire dans nos valeurs et nos pratiques.

Mon conjoint n’est pas juif. Peut-il participer aux activités de Kehilat Kedem avec moi ?

Oui, sans aucun problème. Bien qu’une pratique religieuse familiale soit encouragée, il n’est pas nécessaire qu’il se convertisse s’il ne le souhaite pas.

Mon enfant n’est pas considéré comme juif. Puis-je l’inscrire au Talmud Torah ?

Bien sûr. Les cours de Talmud Torah s’adressent à tous les enfants que leurs parents souhaitent pourvoir d’un bagage de connaissances en matière de judaïsme. Les enfants nés d’une mère non-juive et d’un père juif, en particulier, peuvent sans aucun problème suivre les cours de Talmud Torah, même si leur reconnaissance de judaïté n’a pas encore été prononcée.

Conversion

Combien coûte une conversion au judaïsme ?

Elle coûte d’abord du temps et des efforts. Mais effectivement, des coûts financiers sont également à prévoir. Ils peuvent varier selon les cas et le temps nécessaire. Pour une idée générale, vous pouvez consulter cet article. 

Combien de temps faut-il pour se convertir au judaïsme ?

La durée exacte peut varier en fonction des personnes, de leurs disponibilités, de leur niveau de connaissance. Il n’y a pas de règle absolue, chacun avançant à son rythme. Mais comptez un grand minimum de 18 mois, et le plus souvent davantage. La plupart des personnes concernées achèvent leur conversion en deux à trois ans.

Je ne sais pas vraiment si j’ai envie de me convertir : pour l’instant, j’aimerais simplement en savoir davantage. Est-ce possible ?

Bien sûr. Vous pouvez sans problème assister à des cours ou des offices, partager des moments avec la synagogue et participer à ses activités sans vous convertir pour autant. Il est même sans doute plus sage de commencer par cela, avant de décider, dans un second temps, si la conversion est ou non une bonne idée pour vous.

Je suis d’origine juive mais je n’ai pas reçu d’éducation juive; quel est mon statut religieux ?

Cela dépend des cas. Si vous disposez d’une preuve de la judaïté de vos ascendants (par exemple la ketuba de vos parents ou de vos grand-parents), nous vous mettrons en contact avec un Beth Din, qui jugera de ce qu’il est possible de faire. Dans certains cas, vous pourrez immédiatement être reconnu comme Juif. Dans d’autres, on vous proposera une démarche de confirmation de judaïté ou de conversion.

Kehilat Kedem propose-t-elle des conversions à distance ?

Non. Nous proposons des cours d’introduction au judaïsme et des cours d’hébreu biblique qui peuvent être pris à distance. Mais si vous vous inscrivez dans une démarche de conversion, la pratique réelle et régulière, au sein d’une communauté, est indispensable.

La conversion libérale est-elle une vraie conversion au judaïsme ?

Oui. L’enseignement du judaïsme libéral est réel et profond. Le Beth-Din est constitué de manière halakhiquement correcte. Les mikvés libéraux sont kasher. Il n’y a donc, d’un point de vue halakhique, aucune raison de juger qu’il ne s’agit pas d’une conversion véritable. La position du consistoire français est une position politique dénuée de fondement religieux.

Les conversions au sein de Kehilat Kedem sont-elles reconnues par le Consistoire ?

Non. Kehilat Kedem appartient au mouvement juif libéral, pas au mouvement consistorien. Les conversions pratiquées au sein de Kehilat Kedem sont reconnues par l’ensemble du monde juif libéral (ce qui représente la majorité des Juifs dans le monde), ainsi que par l’Etat d’Israël, mais pas par le Consistoire français.

Les conversions consistoriennes sont-elles reconnues au sein de Kehilat Kedem ?

Oui. Le mouvement juif libéral accueille tous les Juifs, quelle que soit leur origine, dès lors qu’ils souhaitent s’inscrire dans nos valeurs et nos pratiques.

Puis-je choisir le rabbin qui se chargera de ma conversion ?

Dans une certaine mesure. Le rabbin doit appartenir au mouvement réformé, être en mesure et disposé à se charger de votre cas, et bien entendu être présent de temps à autre parmi nous. L’aspect humain est ici très important.

Que se passe-t-il si je ne trouve pas de rabbin spécifique pour ma conversion ?

La synagogue vous mettra en contact avec un rabbin. Tout le monde n’a pas un « déclic » spécifique pour un rabbin particulier, et nous sommes en contact avec plusieurs personnes de confiance, à même de vous suivre.

Quelles sont les obligations d’une personne en conversion au judaïsme ?

On s’attend à ce que vous cherchiez activement à assimiler la culture et le culte juifs : que vous appreniez donc un minimum d’hébreu, de liturgie, d’histoire juive. Tout cela est inclus dans les cours d’hébreu biblique et les cours d’introduction au judaïsme. Au-delà de ce bagage de connaissances générales, on s’attend à ce que vous adoptiez des éléments du mode de vie juif (comme le respect de la kasherout, par exemple) et que vous participiez à la vie de la communauté; cette participation comprend le fait d’assister aux offices, de participer à des études, ou encore de s’impliquer dans divers aspects de la vie de l’association. Bref : pour se convertir au judaïsme, vivre et se comporter comme un Juif est déjà un bon début. Il convient en effet de se souvenir que ces exigences ne sont pas particulières aux personnes en conversion : il s’agit tout simplement de ce à quoi on s’attend de tout membre de la communauté.

 

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    Le Prix Erasme 2022 a été remis à l’écrivain israélien David Grossman. Son discours de réception du prix, intitulé Mending a torn world (« Réparer un monde brisé ») n’est pas sans évoquer le thème, typiquement juif, du Tiqqun Olam. En voici une traduction libre.  Vos majestés, vos altesses royales, vos excellences, mes chers amis, ma famille bien-aimée, mesdames et messieurs :   Il y a soixante et un ans, alors que j’étais un petit garçon de huit ans, j’ai eu une petite révélation. Cela s’est passé dans le bus numéro 18, à Jérusalem, alors que j’étais sur le chemin de l’école tôt un matin. La radio était allumée, et elle diffusait une interview du pianiste Arthur Rubinstein. L’interviewer a demandé : « M. Rubinstein, à l’occasion de votre 75e anniversaire, pourriez-vous résumer votre vie en une phrase ? » Sans hésiter, Rubinstein a répondu : « L’art a fait de moi un homme heureux. Grâce à l’art, j’ai connu le bonheur. »   Je me souviens avoir été étonné et même un peu gêné : dans les années 1950, avec l’ombre lourde du passé qui planait encore au-dessus de nous, le mot « heureux » n’était pas quelque chose que l’on était censé dire en public. Je ne pense pas connaître une seule personne – parmi les cercles d’amis de mes parents – qui aurait osé affirmer, à haute voix, qu’elle était heureuse. Les passagers du bus ce jour-là, des gens fatigués qui vivaient dans mon quartier ouvrier, ne partageaient certainement pas le droit des Américains à « la poursuite du bonheur », que j’allais lire des années plus tard dans la Déclaration d’indépendance des États-Unis.   Ce mot incroyable, bonheur (en hébreu : osher), roulait dans le bus comme une pièce d’or, et moi – avec les yeux d’un enfant – je regardais la pièce imaginaire et je savais : je veux cette chose dont parle M. Rubinstein. Je veux ce bonheur particulier. Je veux être un artiste.   Plus de six décennies se sont écoulées depuis ce jour, et l’art – l’écriture – m’a apporté un grand bonheur, un peu comme le bonheur que je ressens ici aujourd’hui, avec vous. Le bonheur d’être reconnu, et plus encore, d’être compris. Même lorsque l’écriture me causait de la douleur et de la souffrance, c’était une douleur qui avait un sens, une souffrance qui vient en touchant les matériaux authentiques et primaires de la vie. La littérature – l’écriture – m’a appris le plaisir de faire quelque chose de délicat et de précis dans un monde grossier et trouble.   Je suis un homme absolument laïque. Je ne peux pas croire en un Dieu qui m’aiderait à affronter le chaos de l’existence. Et pourtant, l’écriture m’a montré la voie – je l’appellerai la voie laïque – qui consiste à éprouver un horrible sentiment de néant, à plonger dans la perte et la négation totale de la vie, tout en éprouvant simultanément un vif sentiment de vitalité, de plénitude et de positivité de la vie. Même après la tragédie qui a frappé ma famille lorsque nous avons perdu notre fils, Uri, à la guerre, j’ai appris que ce qui me permet de résister à cette dualité d’absence et de présence – qui est pour moi l’essence de l’existence humaine – c’est d’être immergé dans l’acte de création, dans l’art.   Mesdames et Messieurs, chers amis : le thème du prix Erasmus cette année est « Réparer un monde déchiré ». Ce terme trouve son origine dans une ancienne notion juive conçue il y a plus de 2 000 ans. Réparer le monde » (en hébreu : tikkun olam) décrit une composante fondamentale de l’identité juive : une aspiration et une obligation d’améliorer notre monde ; un sens de la responsabilité morale envers tous les peuples, qu’ils soient juifs ou non ; et une préoccupation pour la justice sociale et même l’environnement.   Si seulement je pouvais dire que les résultats des récentes élections israéliennes expriment ce genre de positions humanistes, égalitaires et morales. Ce n’est pas le cas. Néanmoins, je me rappelle sans cesse qu’il y a encore beaucoup de gens en Israël pour qui le désespoir n’est pas une option. Pour qui l’apathie ou l’évasion sont des luxes qu’ils ne peuvent pas se permettre et qu’ils ne veulent pas. Nous sommes encore là. Nos partis ont peut-être perdu, mais nos valeurs et nos convictions n’ont pas été vaincues, et elles sont plus cruciales que jamais.   La vie au Moyen-Orient m’a appris à me contenter de peu lorsqu’il s’agit de mes propres souhaits, également. Peut-être connaissez-vous l’anecdote de ce citoyen américain qui, pendant la guerre du Viêt Nam, avait l’habitude de rester devant la Maison Blanche pendant des heures tous les vendredis, en tenant une pancarte de protestation contre la guerre. Un jour, un journaliste s’est approché de lui et lui a demandé, avec un sourire sardonique : « Pensez-vous vraiment que vous allez changer le monde si vous continuez à vous tenir ici ? ». « Changer le monde ? » répondit l’homme avec surprise, « Je n’ai pas l’intention de changer le monde. Je m’assure simplement que le monde ne me change pas. »   En tant que personne ayant passé toute sa vie dans une zone sinistrée – encore une fois, le Moyen-Orient – je sais combien il est facile de céder au « monde », c’est-à-dire au cynisme, à l’apathie, au désespoir. Et de là, le chemin est court vers le fanatisme religieux, le nationalisme, le fascisme.   Lorsque je cherche un esprit vraiment libre, une personne qui pourrait me servir de modèle dans ma lutte contre le désespoir, je pense à cette juive hollandaise courageuse et courageuse qui a vécu ici à Amsterdam pendant la Seconde Guerre mondiale et l’Holocauste : Etty Hillesum est entrée de son plein gré dans le camp de concentration de Westerbork, avant d’être assassinée à Auschwitz.   Hillesum, comme vous le savez, a réussi à rester une femme libre même sous le plus dur esclavage, et tout son être était un mouvement de l’âme contre la force gravitationnelle du désespoir. Voici ce qu’elle a [suite]

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Témoignages
  • Enquête européenne sur l’antisémitisme

    L’enquête la plus complète qui existe sur les perceptions et expériences des Juifs de l’antisémitisme dans l’Union Européenne est aujourd’hui ouverte à la participation sur www.eujews.eu Nous vous encourageons vivement à participer à cette enquête qui est ouverte à toutes les personnes de 16 ans et plus qui se considèrent juives. L’enquête de l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA) collectera des données dans 13 États membres de l’Union Européenne. Les conclusions aideront les autorités nationales et les institutions européennes dans leurs efforts pour mieux protéger les droits fondamentaux de Juifs, combattre l’antisémitisme et favoriser la vie juive en Europe. Rendez-vous sur www.eujews.eu dès maintenant pour en savoir plus sur l’enquête et y participer. L’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne et ses partenaires garantissent le respect des règles de protection de toutes les données durant la collecte et l’analyse. Merci de partager le lien de cette enquête avec votre famille et vos connaissances – en particulier avec les personnes qui n’appartiennent à aucune organisation juive afin de garantir la participation la plus large possible.

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