Généralités
Il vous suffit de nous contacter. Nous pourrons en parler tout simplement, sans aucune obligation, et surtout sans aucune tentative de vous convaincre de quoi que ce soit. Vous pourrez aussi assister à des offices, ou encore à des études, pour vous rendre compte de ce à quoi ça ressemble en réalité.
Kehilat Kedem est une synagogue et une communauté juive libérale, se situant à Montpellier, dans le sud de la France. Kehilat Kedem appartient au mouvement juif progressiste mondial, ainsi qu’à Judaïsme en Mouvement.
Le judaïsme
Il vous suffit de nous contacter. Nous pourrons en parler tout simplement, sans aucune obligation, et surtout sans aucune tentative de vous convaincre de quoi que ce soit. Vous pourrez aussi assister à des offices, ou encore à des études, pour vous rendre compte de ce à quoi ça ressemble en réalité.
Tout dépend de quel judaïsme on parle. Le judaïsme orthodoxe et/ou traditionnel rejette non seulement l’homosexualité en tant que pratique, mais également les homosexuels en tant que personnes. Au sein du mouvement juif libéral, dans lequel s’inscrit Kehilat Kedem, ça n’est pas le cas. Nos synagogues sont ouvertes à tous, sans discrimination.
La réponse, plus complète, du rabbin Delphine Horvilleur à cette question :
Informations pratiques
Les repas communautaires ont généralement lieu après des offices, lors d’occasions particulières. Ils sont indiqués sur le calendrier du site. Pour y participer, il suffit de vous rendre à l’office en question. Chacun porte un plat et une boisson et on partage, tout simplement. Plats kasher et sans viande.
Non. Vous pouvez parfaitement assister à un office sans adhérer à Kehilat Kedem. Si cela devient une habitude, on s’attendra néanmoins à ce qu’au bout d’un moment vous preniez une adhésion à l’association ou fassiez un don. Mais rien d’obligatoire dans un premier temps.
Il vous suffit de nous contacter. Nous pourrons en parler tout simplement, sans aucune obligation, et surtout sans aucune tentative de vous convaincre de quoi que ce soit. Vous pourrez aussi assister à des offices, ou encore à des études, pour vous rendre compte de ce à quoi ça ressemble en réalité.
Non. Vous pouvez vous inscrire uniquement à l’activité qui vous intéresse. Les membres bénéficient cependant en général d’un tarif préférentiel.
Oui. N’hésitez pas à nous contacter. Nous ferons de notre mieux pour vous aider, que vous apparteniez ou non à notre synagogue et que vous vous inscriviez ou non dans le judaïsme libéral. Si la chose est possible, essayez de nous prévenir à l’avance.
Oui. Si vous n’êtes pas imposable, vous pourrez bénéficier d’un tarif réduit pour votre adhésion. Contactez le trésorier et indiquez votre situation : il fera le nécessaire.
Kehilat Kedem organise régulièrement des offices en ligne pour les personnes qui ne sont pas en mesure de se déplacer : consultez le calendrier. Vous pouvez aussi, si vous disposez d’un peu d’espace, proposer d’accueillir chez vous un office hors-les-murs. Contactez-nous pour en parler.
Oui. Kehilat Kedem, en tant qu’association, est ouverte à tous. Toutefois, il s’agit bien d’une association cultuelle, dirigée et gérée par des membres du culte israélite : si vous n’êtes pas juif, vous ne pourrez pas, d’après nos statuts, prendre de rôle dirigeant au sein de l’association, ni appartenir à son conseil d’administration.
Nous sommes intéressés. N’hésitez pas à nous contacter : nous vous répondrons sans problème. Nous pourrons discuter ensemble des contours et modalités d’une éventuelle intervention, de part ou d’autre.
Kehilat Kedem se réunit dans divers lieux, selon les besoins, à Montpellier et aux environs. Mais en règle générale, nos offices se déroulent dans Montpellier centre, à proximité de l’arrêt de tramway Nouveau Saint-Roch. N’hésitez pas à nous contacter pour davantage de détails.
Nous célébrons a minima un office de kabbalat shabbat par semaine, le vendredi soir à 19h00. Plusieurs fois par mois, nous célébrons également un office le samedi matin. Pour davantage de détails, consultez le calendrier ou la page consacrée aux offices.
Les offices de Kehilat Kedem sont dirigés soit par des rabbins, soit par des membres de la communauté, selon les cas. La dracha peut également être effectuée par un membre de la communauté qui le souhaite. Si vous souhaitez apprendre à diriger un office, si vous êtes volontaire pour en diriger un ou que vous souhaitez proposer une dracha, contactez-nous.
Offices
Non. Vous pouvez parfaitement assister à un office sans adhérer à Kehilat Kedem. Si cela devient une habitude, on s’attendra néanmoins à ce qu’au bout d’un moment vous preniez une adhésion à l’association ou fassiez un don. Mais rien d’obligatoire dans un premier temps.
Si vous êtes un homme, oui. Nous pouvons vous en prêter une si nécessaire. Si vous êtes une femme, ça n’est pas obligatoire mais vous y êtes autorisée si vous le souhaitez.
Nous organisons plusieurs fois par an des offices en ligne, à destination des personnes ayant des difficultés à se déplacer. Surveillez l’agenda : ils sont généralement indiqués plusieurs semaines à l’avance.
C’est une bonne idée et un très bon exercice. Parlez-en à l’officiant prévu pour la date en question.
Oui. Nos livres de prière sont bilingues et comprennent des translittérations de certains passages hébraïques. Même si nous aimerions beaucoup entendre votre voix, vous n’êtes pas obligé de chanter. Et pour la Amida (moment de prière en silence), vous pouvez parfaitement vous adresser à l’Eternel en français ou dans toute autre langue.
Pas de problème. Nous avons toujours un petit stock à disposition, pour ceux qui ne possèdent pas de kipa ou pour les étourdis qui ont oublié la leur chez eux.
Bien sûr. Si vous n’êtes pas juif, vous ne compterez pas au minian et ne pourrez pas monter à la Torah. Mais hormis cela, vous pouvez parfaitement assister à un office si vous le souhaitez. En cas de doute quant à ce que vous pouvez ou non faire une fois sur place, rapprochez-vous du rabbin ou de l’officiant présent ce jour-là.
Oui. Le tatouage est en effet déconseillé par le judaïsme (il s’agit même d’un strict interdit, dans la Bible). Ne vous attendez donc pas à des félicitations. Mais ne vous attendez pas à une condamnation non plus : vous ne serez ni jugé, ni rejeté en aucune manière. Cela ne vous empêchera ni d’assister aux offices, ni de participer à la vie de la communauté, ni même, si vous le souhaitez, de vous convertir. Nous accueillons tous ceux qui le souhaitent et s’intéressent sincèrement au judaïsme libéral. Car si, en effet, la personne tatouée a transgressé un interdit biblique, n’en sommes-nous pas tous là, pour une raison ou une autre ? Il y a 613 commandements dans la Torah, et il est fort improbable qu’existe une seule personne au monde qui n’en ait jamais transgressé aucun. La réponse, plus complète, du rabbin Yann Boissière :
Oui. Du moment que votre intervention est polie et étayée, même si elle contredit le commentaire qui vient d’être fait, vous pouvez intervenir. Une dracha est là pour ouvrir un débat ou encourager à la réflexion, pas pour imposer une vérité absolue. Le débat est possible et bienvenu. Le temps dont nous disposons durant les offices étant ce qu’il est, cependant, on essaiera, par égard pour les autres personnes présentes, de rester relativement brefs; si on le souhaite, on pourra aisément poursuivre le débat après la fin de l’office.
Bien entendu. Ils sont les bienvenus. Ils ne sont pas obligés d’être sages, peuvent se contenter de participer aux chants qui leur plaisent, et à la fin, ils auront droit à de la brioche et du jus de raisin.
Nous célébrons a minima un office de kabbalat shabbat par semaine, le vendredi soir à 19h00. Plusieurs fois par mois, nous célébrons également un office le samedi matin. Pour davantage de détails, consultez le calendrier ou la page consacrée aux offices.
Les offices de Kehilat Kedem sont dirigés soit par des rabbins, soit par des membres de la communauté, selon les cas. La dracha peut également être effectuée par un membre de la communauté qui le souhaite. Si vous souhaitez apprendre à diriger un office, si vous êtes volontaire pour en diriger un ou que vous souhaitez proposer une dracha, contactez-nous.
Oui, mais informel. Soyez tzniout, c’est-à-dire décent. Il n’est pas nécessaire de venir dans une tenue particulière (même si certains le font tout de même). Le judaïsme libéral comprend que la notion de décence peut bien entendu être à géométrie variable; en outre, Montpellier est une ville dans laquelle il fait très chaud l’été. Aussi sommes-nous souples quant à cette notion, qui relève de la responsabilité individuelle et du bon sens, plus que de règles écrites dans le marbre. Dans l’ensemble, considérez que si une tenue serait inappropriée pour aller voir votre famille, elle est sans doute inappropriée pour se rendre à l’office également. Il est à noter que la notion de décence concerne tout le monde, hommes comme femmes.
Pratiques
Bien entendu. Kehilat Kedem, en tant que synagogue libérale, ne pratique aucune discrimination en la matière.
Oui. Le tatouage est en effet déconseillé par le judaïsme (il s’agit même d’un strict interdit, dans la Bible). Ne vous attendez donc pas à des félicitations. Mais ne vous attendez pas à une condamnation non plus : vous ne serez ni jugé, ni rejeté en aucune manière. Cela ne vous empêchera ni d’assister aux offices, ni de participer à la vie de la communauté, ni même, si vous le souhaitez, de vous convertir. Nous accueillons tous ceux qui le souhaitent et s’intéressent sincèrement au judaïsme libéral. Car si, en effet, la personne tatouée a transgressé un interdit biblique, n’en sommes-nous pas tous là, pour une raison ou une autre ? Il y a 613 commandements dans la Torah, et il est fort improbable qu’existe une seule personne au monde qui n’en ait jamais transgressé aucun. La réponse, plus complète, du rabbin Yann Boissière :
Pas à l’heure actuelle. Mais le sujet est en débat et les choses pourraient évoluer dans les années à venir.
Oui, sans aucun problème. Bien qu’une pratique religieuse familiale soit encouragée, il n’est pas nécessaire qu’il se convertisse s’il ne le souhaite pas.
Il est demandé aux hommes de porter la kipa aux offices. Nous n’avons pas de prescription particulière concernant ce port hors des offices; nous n’encourageons pas le port visible de la kipa, ni d’autres signes religieux ostentatoires, dans l’espace public mais considérons que ce choix relève du jugement de chacun.
Tout dépend de quel judaïsme on parle. Le judaïsme orthodoxe et/ou traditionnel rejette non seulement l’homosexualité en tant que pratique, mais également les homosexuels en tant que personnes. Au sein du mouvement juif libéral, dans lequel s’inscrit Kehilat Kedem, ça n’est pas le cas. Nos synagogues sont ouvertes à tous, sans discrimination.
La réponse, plus complète, du rabbin Delphine Horvilleur à cette question :
Cours
A partir de sept ans.
Non. Les cours d‘hébreu biblique, d’introduction au judaïsme ou encore de musar que nous proposons s’adressent à toutes les personnes intéressées par ces sujets, sans distinction. Dans certains cas, un certain bagage de connaissances peut cependant être conseillé.
Oui. Beaucoup de nos cours sont en visioconférence : vous pouvez y assister quelle que soit votre localisation géographique.
Bien sûr. Les cours de Talmud Torah s’adressent à tous les enfants que leurs parents souhaitent pourvoir d’un bagage de connaissances en matière de judaïsme. Les enfants nés d’une mère non-juive et d’un père juif, en particulier, peuvent sans aucun problème suivre les cours de Talmud Torah, même si leur reconnaissance de judaïté n’a pas encore été prononcée.
Enfants
A partir de sept ans.
Bien sûr. Les cours de Talmud Torah s’adressent à tous les enfants que leurs parents souhaitent pourvoir d’un bagage de connaissances en matière de judaïsme. Les enfants nés d’une mère non-juive et d’un père juif, en particulier, peuvent sans aucun problème suivre les cours de Talmud Torah, même si leur reconnaissance de judaïté n’a pas encore été prononcée.
Bien entendu. Ils sont les bienvenus. Ils ne sont pas obligés d’être sages, peuvent se contenter de participer aux chants qui leur plaisent, et à la fin, ils auront droit à de la brioche et du jus de raisin.
Juifs et non-juifs
Non. Les cours d‘hébreu biblique, d’introduction au judaïsme ou encore de musar que nous proposons s’adressent à toutes les personnes intéressées par ces sujets, sans distinction. Dans certains cas, un certain bagage de connaissances peut cependant être conseillé.
Oui. Kehilat Kedem, en tant qu’association, est ouverte à tous. Toutefois, il s’agit bien d’une association cultuelle, dirigée et gérée par des membres du culte israélite : si vous n’êtes pas juif, vous ne pourrez pas, d’après nos statuts, prendre de rôle dirigeant au sein de l’association, ni appartenir à son conseil d’administration.
Bien sûr. Si vous n’êtes pas juif, vous ne compterez pas au minian et ne pourrez pas monter à la Torah. Mais hormis cela, vous pouvez parfaitement assister à un office si vous le souhaitez. En cas de doute quant à ce que vous pouvez ou non faire une fois sur place, rapprochez-vous du rabbin ou de l’officiant présent ce jour-là.
Cela dépend des cas. Si vous disposez d’une preuve de la judaïté de vos ascendants (par exemple la ketuba de vos parents ou de vos grand-parents), nous vous mettrons en contact avec un Beth Din, qui jugera de ce qu’il est possible de faire. Dans certains cas, vous pourrez immédiatement être reconnu comme Juif. Dans d’autres, on vous proposera une démarche de confirmation de judaïté ou de conversion.
Oui. Le mouvement juif libéral accueille tous les Juifs, quelle que soit leur origine, dès lors qu’ils souhaitent s’inscrire dans nos valeurs et nos pratiques.
Oui, sans aucun problème. Bien qu’une pratique religieuse familiale soit encouragée, il n’est pas nécessaire qu’il se convertisse s’il ne le souhaite pas.
Bien sûr. Les cours de Talmud Torah s’adressent à tous les enfants que leurs parents souhaitent pourvoir d’un bagage de connaissances en matière de judaïsme. Les enfants nés d’une mère non-juive et d’un père juif, en particulier, peuvent sans aucun problème suivre les cours de Talmud Torah, même si leur reconnaissance de judaïté n’a pas encore été prononcée.
Conversion
Elle coûte d’abord du temps et des efforts. Mais effectivement, des coûts financiers sont également à prévoir. Ils peuvent varier selon les cas et le temps nécessaire. Pour une idée générale, vous pouvez consulter cet article.
La durée exacte peut varier en fonction des personnes, de leurs disponibilités, de leur niveau de connaissance. Il n’y a pas de règle absolue, chacun avançant à son rythme. Mais comptez un grand minimum de 18 mois, et le plus souvent davantage. La plupart des personnes concernées achèvent leur conversion en deux à trois ans.
Bien sûr. Vous pouvez sans problème assister à des cours ou des offices, partager des moments avec la synagogue et participer à ses activités sans vous convertir pour autant. Il est même sans doute plus sage de commencer par cela, avant de décider, dans un second temps, si la conversion est ou non une bonne idée pour vous.
Cela dépend des cas. Si vous disposez d’une preuve de la judaïté de vos ascendants (par exemple la ketuba de vos parents ou de vos grand-parents), nous vous mettrons en contact avec un Beth Din, qui jugera de ce qu’il est possible de faire. Dans certains cas, vous pourrez immédiatement être reconnu comme Juif. Dans d’autres, on vous proposera une démarche de confirmation de judaïté ou de conversion.
Non. Nous proposons des cours d’introduction au judaïsme et des cours d’hébreu biblique qui peuvent être pris à distance. Mais si vous vous inscrivez dans une démarche de conversion, la pratique réelle et régulière, au sein d’une communauté, est indispensable.
Oui. L’enseignement du judaïsme libéral est réel et profond. Le Beth-Din est constitué de manière halakhiquement correcte. Les mikvés libéraux sont kasher. Il n’y a donc, d’un point de vue halakhique, aucune raison de juger qu’il ne s’agit pas d’une conversion véritable. La position du consistoire français est une position politique dénuée de fondement religieux.
Non. Kehilat Kedem appartient au mouvement juif libéral, pas au mouvement consistorien. Les conversions pratiquées au sein de Kehilat Kedem sont reconnues par l’ensemble du monde juif libéral (ce qui représente la majorité des Juifs dans le monde), ainsi que par l’Etat d’Israël, mais pas par le Consistoire français.
Oui. Le mouvement juif libéral accueille tous les Juifs, quelle que soit leur origine, dès lors qu’ils souhaitent s’inscrire dans nos valeurs et nos pratiques.
Dans une certaine mesure. Le rabbin doit appartenir au mouvement réformé, être en mesure et disposé à se charger de votre cas, et bien entendu être présent de temps à autre parmi nous. L’aspect humain est ici très important.
La synagogue vous mettra en contact avec un rabbin. Tout le monde n’a pas un « déclic » spécifique pour un rabbin particulier, et nous sommes en contact avec plusieurs personnes de confiance, à même de vous suivre.
On s’attend à ce que vous cherchiez activement à assimiler la culture et le culte juifs : que vous appreniez donc un minimum d’hébreu, de liturgie, d’histoire juive. Tout cela est inclus dans les cours d’hébreu biblique et les cours d’introduction au judaïsme. Au-delà de ce bagage de connaissances générales, on s’attend à ce que vous adoptiez des éléments du mode de vie juif (comme le respect de la kasherout, par exemple) et que vous participiez à la vie de la communauté; cette participation comprend le fait d’assister aux offices, de participer à des études, ou encore de s’impliquer dans divers aspects de la vie de l’association. Bref : pour se convertir au judaïsme, vivre et se comporter comme un Juif est déjà un bon début. Il convient en effet de se souvenir que ces exigences ne sont pas particulières aux personnes en conversion : il s’agit tout simplement de ce à quoi on s’attend de tout membre de la communauté.