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Étiquette : Convivialité

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20mars
2021
recettes juives pessah

Quelques recettes pour le Seder de Pessah

20/03/2021
admin
Recettes
0

Kehilat Kedem organise chaque année un Seder de Pessah.  Comme vous le savez, cette année encore, ce ne sera pas possible. Alors, voici quelques recettes que nous aurions pu vous proposer au cours du repas.

Au bas de la page, vous trouverez également un lien pour préparer de mille et une façons la Harosset, la seule préparation du plateau du Seder, les autres éléments étant juste à poser.

Entrées

(4 personnes)

Salade de poivrons et tomates

  • 4 poivrons rouges
  • 3 poivrons verts
  • 1 boite (moyenne) de chair de tomates
  • 3 gousses d’ail

Faire griller les poivrons que vous avez auparavant épépinés et coupés en deux, face bombée dessus. Un fois bien grillé/limite brulé, retirez du four et mettez dans un sachet en plastique (un secret pour retirer la peau beaucoup plus facilement). Attendez que les poivrons aient refroidi puis retirer la peau. Coupez les poivrons en lamelles dans le sens vertical.

Faire chauffer 3 CS d’huile d’olive dans une grande sauteuse puis verser les poivrons. Au bout de 5 à 10 mn, sur feu doux, ajouter l’ail et versez la chair de tomates. Salez/poivrez.

Remuez pour que cela n’attache pas. Laissez cuire 10 à 15 mn.

Salade israélienne

  • 3 concombres de taille moyenne
  • 2 grosses tomates
  • 1 poivron vert ou rouge
  • Huile d’olive
  • Jus de citron frais (au moins un citron)
  • Sel
  • Poivre –  facultatif
  • Za’atar – facultatif
  • 2 c. à soupe de persil frais haché (feuille plate)
  • 2 cuillères à soupe de menthe fraîche hachée
  • ¼ oignon rouge, finement coupé en dés, ou 2 oignons verts, finement coupé en dés
  • 2 feuilles de laitue romaine, hachées

Coupez en petits dès tous les légumes. Peler les concombres est facultatif. Placez-les dans un grand bol, en ajoutant les ingrédients. Juste avant de servir, mélangez avec l’huile d’olive, puis ajoutez le jus de citron, les herbes et les épices. Servir immédiatement.

Plats principaux au choix

(6 personnes)

Soupe au chou et aux fèves

  • 500 g de bœuf (macreuse ou jarret)
  • 700 de fèves vertes fraîches sans peau ou surgelées
  • 3 gros oignons
  • 1 chou vert
  • 1 tomates et éventuellement un peu de concentré de tomates
  • 1 bouquet de coriandre fraîche
  • 3 branches de céleri
  • huile d’olive
  • Coriandre en poudre
  • sel poivre

Nettoyez et épluchez les fèves. Pelez et émincez finement les oignons. Faire revenir la viande avec tomates,  oignons et céleri ciselé finement. Rajoutez alors les fèves, puis le chou ciselé, la coriandre, sel et poivre. Rajoutez de l’eau. Laissez cuire plusieurs heures.

Msoki (plat tunisien)

  • 1 épaule d’agneau désossée coupée en morceaux
  • 1kg épinards (surgelés)
  • 250 g petits pois
  • 500g de fèves vertes surgelées
  • 3 feuilles de Romaine ou ½ salade
  • ½ chou vert
  • 1 tomate
  • 1 chou rave
  • 4 carottes
  • 1 poireau
  • 2 pommes de terre
  • 1 navet
  • 4 fonds d’artichaut surgelés
  • 1 tête de fenouil
  • 3 oignons
  • 2 branche de céleri avec feuilles
  • 3 courgettes
  • 5 gousses d’ail
  • Sel/poivre
  • 1 CS de concentré de tomates
  • 1 CS paprika
  • ½ CC de noix de muscade rapée
  • 1 pincée de cannelle
  • 1 CS de coriande moulue
  • 1 CC d’harissa (à affiner à la fin selon le goût désiré)
  • 1 CS fleurs de rose en poudre (si vous avez)
  • 1 bouquet de coriandre
  • 3 branches de menthe
  • ½ bouquet d’aneth
  • 1 bouquet de persil plat
  • 2 à 3 galettes rondes La Bienfaisante

Coupez tous les légumes en dés. Ciselez le chou après avoir enlevé le cœur et les premières feuilles. Placez les légumes dans une bassine d’eau. Faire revenir à l’huile l’agneau, l’ail et l’oignon avec les dés de tomates. Faites dorer 10 mn. Ajoutez les herbes ciselées, le paprika, la cannelle, la coriandre moulue, la fleur de rose et la muscade. Salez, poivrez. Complétez avec la harissa et le concentré de tomates. Versez ensuite les légumes égouttés, les épinards, les petits pois et les fèves. Remuez régulièrement. Ne mettez pas d’eau au début de la cuisson car les légumes vont rendre l’eau puis rajoutez l’eau verre à verre. Laissez cuire à couvert pendant plusieurs heures. Quinze minutes avant de servir, coupez la galette en morceaux. Comptez ½ matsa par personne. Mettez le Msoki dans une soupière. La préparation doit être à peine aqueuse.
Servir très chaud.

La Harosset (pour le plateau du seder)

Quelques idées

 

Convivialité
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02décembre
2020

Dîners shabbatiques

02/12/2020
admin
0

Ce qui a fait de Kehilat Kedem ce qu’elle est aujourd’hui, c’est bien sûr d’une part une communauté fidèle avec un fort désir de se réunir pour prier à shabbat mais beaucoup aussi la convivialité de ces diners shabbatiques mensuels si vivants et amicaux. Le principe est simple, chacun apporte un plat salé (végétarien, ou de poisson), un dessert et/ou une boisson.

 

Evidemment, pour l’instant, au vu de la situation sanitaire, ces diners sont suspendus et nous nous centrons sur les offices.

Convivialité
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11novembre
2020

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11/11/2020
admin
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    • Appel de JEM : “Soutenons les Juifs d’Ukraine !”

      La guerre est déclarée en Ukraine, sa démocratie et son indépendance sont en péril face à l’invasion russe. Pour venir en aide à la communauté juive ukrainienne, JEM a mis en place un système de don via son formulaire. Mobilisons-nous ! Jeudi 24 février, Vladimir Poutine annonçait à la télévision russe qu’une opération militaire allait être lancée en Ukraine. Peu après son intervention, des explosions se faisaient entendre dans plusieurs villes de l’Est ukrainien. Depuis Jeudi matin, la Russie envahit le territoire et le bombarde pour assouvir l’envie du chef du Kremlin de reconstruire un nouvel empire russe. La centrale de Tchernobyl et un aéroport militaire situé à 25 kilomètres de Kiev ont déjà été annexés par les troupes russes. Cette agression est une menace pour la démocratie de l’Ukraine, mais aussi pour la stabilité de l’Europe et de la communauté internationale. Quelque 100 000 personnes ont déjà été déplacées et 50 000 ont quitté le territoire ukrainien, a déploré l’ONU, qui a réclamé un « accès sans entrave » pour l’aide humanitaire. Kiev, le vendredi 25 février : Message de la rabbanit Eina Makovitch  « Chalom , Mon mari a été officier dans l’armée de l’air israélienne pendant douze ans. Après cela, nous avons pris la décision de partir en mission à Kiev avec nos sept enfants. Aujourd’hui mon mari est le rav de Kiev et cela fait 21 ans que nous sommes installés ici. Jusqu’à il y a encore un mois, nous étions à la tête d’une communauté florissante. Et depuis, on sent comme une odeur de guerre. La plupart des familles aisées de Kiev ont quitté la ville. Ceux qui sont restés sont essentiellement les personnes âgées (la pension de retraite en Ukraine s’élève à 70 dollars par mois), les malades, les rescapés de la Shoah et des personnes défavorisées. Nous distribuons des repas chauds, des colis alimentaires et nous nous chargeons de l’école, du jardin d’enfants et de l’institution pour autistes (la première du pays) de la communauté. Dans cette situation, il ne nous était tout simplement pas possible de tout quitter et de rentrer en Israël. Nous avons décidé de rester et de ne pas laisser tous ces malheureux livrés à eux-mêmes. Ce matin, quand les bombardements ont débuté, les juifs se sont rassemblés dans le bâtiment communautaire. Il n’y a aucun abri à Kiev et aucune instruction sur la façon d’agir en cas d’urgence n’a été donnée à la population. Pour le moment nous disposons encore d’assez de matelas et de nourriture dans notre réserve pour tous, mais nous ne savons pas pendant combien de temps cela pourra suffire. Nous avons recruté un agent de sécurité armé pour nous prémunir du vol et du pillage, car il n’y a tout simplement pas de service de police. Nous avons lancé une campagne de dons, et pendant que les alarmes et les explosions se font entendre, nous essayons de renforcer et de prendre soin de tous ceux qui continuent d’affluer vers le centre communautaire. Ce sera dans quelques heures l’entrée du Chabbat. Nous aurions souhaité célébrer « Chabbat mevahim » qui célèbre le mois « Adar cheni » autrement.  Comme on sait, lorsqu’on approche du mois de Adar on doit redoubler de joie. Le moment de l’allumage des bougies du Chabbat a un pouvoir spécial. Je demande donc à toutes les femmes qui liront ces mots de bien vouloir penser à nous et à prier pour nous ce Chabbat. Chabbat Chalom de Kiev » Comment aider ?  JEM a mis en place sur son  formulaire de don une case à cocher « Crise ukrainienne » pour que l’intégralité de la somme récoltée soit reversée à la World Union For Progressive Judaism qui a de suite lancé un appel à toutes les communautés juives libérales du monde pour venir en aide aux populations juives ukrainiennes : « Si le conflit s’intensifie, votre argent deviendra une aide cruciale et nécessaire pour de nombreuses personnes. Si la tension s’apaise, le fonds sera consacré au développement de la communauté juive progressiste d’Ukraine. »

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    • La pensée juive moderne – Une conférence de Yann Boissière

      Comment est né le judaïsme libéral ? Comment la modernité, à la fois en tant que type de société et que philosophie dominante, a influencé la pensée juive ? Quel impact a eu, pour une religion jusqu’alors presque exclusivement héréditaire (malgré quelques rares conversions au fil de l’Histoire), le fait d’être confrontée à un monde dans lequel la religion devient un choix personnel ? Une conférence de Yann Boissière, offrant sur ces questions un point de vue précis et détaillé. https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/2130_1_BOISSIERE.mp4 Illustration : Jossuha Théophile / Unsplash

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    • Parasha Emor : la science du judaïsme, par Yeshaya Dalsace

      Dans la parasha Emor, l’Eternel s’adresse à Moïse et lui ordonne de donner aux kohanim des prérogatives spécifiques liées au sacerdoce, ainsi que des commandements particuliers relatifs à la pureté. D.ieu décrit ensuit les limites des offrandes, et notamment les raisons pour lesquelles une bête ne peut être sacrifiée. Sont ensuite évoqués le calendrier liturgique, les offrandes, les rites et les fêtes, ainsi que les rites quotidiens. https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/1554_DALSACE.mp4 Illustration : Luis Gonzalez – Unsplash

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    Parasha & Hatftarah
    • Parasha Behar : la souffrance de la terre

      La parasha Behar introduit une double notion qui était tout à fait étrangère à de nombreux peuples antiques, et reste étrangère encore aujourd’hui encore à une grande partie de l’humanité : celle que la Terre souffre aussi d’une part, et d’autre part celle selon laquelle l’Homme n’est pas maître et possesseur de la Nature. Un commentaire de Marc Cohen, pour Akadem. https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/5081_COHEN.mp4 Illustration : Dustan Woodhouse / Unsplash

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    • Parashah Emor par Bonnie Buckner

      Parashah Emor begins with special laws pertaining to the kohanim, the kohen gadol, and the Temple service.  The second part lists the festivals of the Jewish calendar.  Next is a discussion of the lighting of the menorah in the Temple, and the showbread to be placed weekly on the table in the Temple.  The parashah concludes with the story of the man executed for blashphemy, and penalties for injuring another person or destroying their property. On the surface, it is difficult to find a thread linking the seemingly disparate sections of this parashah.  In particular, the story that concludes it.  The book of Vayikra is not a book of narratives – it is a book about the laws of the priests (the original name for the book: Torat Kohanim).  There are only two narratives in the entire book: the death of two of Aaron’s sons (Nadav and Avihu) on the day the Sanctuary was consecrated, and the story in our parasha of the blashphemer.  Why this story, and why here? Parashah Emor concerns itself with the holiness of priests, the holiness of the Sanctuary, and the holiness of certain days in the calendar.  In other words, the sanctity of person, place, and time.  And then the narrative of the blasphemer. Rabbi Jonathan Sacks (1) argues that the narrative of the blasphemer brings our focus to the sanctity of speech. Here we pick up the thread. At the beginning of the parashah we find the special laws pertaining to the priest in relationship to death, which require the priest to stay away from the bodies of the dead except under specific circumstances.  Rabbi Samson Raphael Hirsch, in his commentary to these verses sets out that whereas other religions associate matters of God ‘where man ends’, for Judaism God is among us in our living: Hashem is the God of Life. “Judaism teaches us not how to die, but how to live so that, even in life, we may overcome death, lack of freedom, the enslavement to physical things and moral weakness (2).” The priest’s role with respect to these laws is to “keep aloft the banner of life” to make clear for us that the concept of life is “not overshadowed by thoughts of death. (3)” In beginning, in first giving, God creates life – a world of living things, and a world for the living human to inhabit. We, the human, are created in God’s image. We are told in Deuteronomy to choose life:  “I have set life and death before you, blessing and curse. Choose life, so that you may live – you and your descendants – to love God, your God (30:19).” Exodus is a book dominated by the mighty Hand of God – plagues and miracles, the Decalogue, and the instructions for, and building of, the sanctuary. In the building of the sanctuary, we are invited to imitate God in the creating act, creating a microcosmos here – creating order from chaos – to mirror the Great Creation of God.  Vayikra, the book where our current parasha sits, means He (God) called. Rashi tells us this is a term of endearment; rather than He said (Vayomer), He spoke (Vayedaber) or He commanded (Vayetzav), Vayikra is a language of “invitation, friendship, love (4).”  Here, in this book, “in love, God calls the people of Israel to come close to Him…to share His quality of holiness, difference, apartness (5).”  It is a detailed invitation to continue our work of ‘holiness in action (6)’ as part of our relationship with God: creation to Creator. It is God’s calling to us to ‘partner in the work of creation’. From here the story of the blasphemer, and the penalties for injuring another person or destroying their property, are clearly understood.  To blaspheme is to destroy name, meaning, and holiness; to injure another is to reverse the creating process; to destroy another’s property is again a destructive act.  For a God who creates life, exhorts us to choose life, and invites us to join Him in the creating process such acts are a direct reversal, an untying of the thread of the relationship.  The opposite of creating, such undoings are equivalent to death. The world was created through speech.  Through ten sayings God created the world. Speech gives us the capacity to create or destroy.  One can honor another through speech, or blaspheme; create a friendship, or destroy one. Consecrating festival days is our response to Vayikra – we announce the days and we make ourselves present for them. By lighting the menorah and keeping the showbread we respond to Vayikra, bringing our own light to the space where we can meet God’s Light. By consecrating our speech we respond to Vayikra, letting our words continue the act of creation in holding God’s name apart, by honoring that Divine image in others.  To our God who creates life, who calls to us in invitation, through our small efforts to honor the sanctity of person, place, time, and speech, we respond by choosing life. We respond to God loving us, by our loving God.         FRENCH VERSION Parashah Emor La Parasha Emor commence par des lois spéciales relatives aux kohanim (prêtres), au kohen gadol ( le grand prêtre) et au service du Temple. La deuxième partie énumère les fêtes du calendrier juif. Vient ensuite une discussion sur l’allumage de la menorah dans le Temple, et les pains de proposition (« showbread ») à placer chaque semaine sur la table dans le Temple. La parasha se termine par l’histoire de l’homme exécuté pour blasphème et par les sanctions pour avoir blessé une autre personne ou détruit sa propriété. En surface, il est difficile de trouver un fil reliant les sections apparemment disparates de cette parasha. En particulier, l’histoire qui la conclut. Le livre de Vayikra ( Lévitique) n’est pas un livre de récits – c’est un livre sur les lois des prêtres (le nom original du livre : Torat Kohanim). Il n’y a [suite]

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    • Anne Rothschild : rendez-vous en mai et juin

      Présente à la Comédie du Livre à Montpellier, notre amie Anne Rothschild nous annonce qu’elle participera également aux événements suivants : Treizième édition d’ARTPAGE Rencontre de l’estampe et du livre d’artiste, à Octon, au Village des Arts, près du Lac du Salagou 34800 – Hérault. Du 27 au 29 mai 2022. Ouverture le 27 à 14h00. Vernissage à 18h00. Marché de la Poésie, Place St Sulpice, Paris 5e En signature pour “Nous avons tant voyagé” et “Au pays des Osmanthus” au stand du Taillis Pré, le dimanche 12 juin, de 15h à 16h. Journées de l’Estampe Place St Sulpice, Paris 5e Lundi 13 et mardi 14 juin 2022

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    Témoignages
    • Conversion au judaïsme : quelques petites choses à savoir
      conversion au judaïsme femme aux bougies

      Nous recevons régulièrement des demandes de conversion au judaïsme, ou, à tout le moins, des manifestations d’intérêt pour cette démarche. Ayant terminé ma propre conversion dans le courant de l’année 2021, il m’a semblé utile de noter quelques-uns des éléments que j’aurais aimé connaître quand je me suis lancé dans cette entreprise. Je ne pense pas qu’un seul d’entre eux aurait changé quoi que ce soit à ma décision ; mais il me semble néanmoins utile de vous adresser, à vous qui souhaitez, comme je l’ai fait, vous inscrire dans l’Alliance, quelques informations et avertissements. La conversion au judaïsme est difficile Une conversion au judaïsme est une entreprise longue, difficile, et qui demande beaucoup de temps, d’énergie et de détermination. Attention : ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, la porte est toujours ouverte et une personne sincère et dont la démarche est appropriée trouvera toujours au sein de Kehilat Kedem des interlocuteurs pour l’aider et la soutenir. Mais ne vous attendez pas à ce que les choses se fassent facilement : des efforts seront exigés de vous. La conversion au judaïsme libéral n’est pas une conversion light Le judaïsme libéral, contrairement à ce que beaucoup de gens croient, n’est pas moins exigeant que le judaïsme orthodoxe en ce qui concerne les conversions. Il place seulement ses exigences sur d’autres points. Vous n’avez (peut-être) pas besoin de vous convertir… Tout dépend de vos souhaits et de vos objectifs : si ce que vous voulez, c’est assister aux cours et conférences, prendre part aux offices, en apprendre davantage sur le judaïsme, ou encore étudier l’hébreu biblique, il n’est absolument pas nécessaire d’entrer dans une démarche de conversion. Vous pouvez parfaitement adhérer à Kehilat Kedem et participer à ces activités sans pour autant vous engager dans une démarche active de conversion. Dans un premier temps, si vous n’avez pas d’attache particulière avec le judaïsme a priori, c’est d’ailleurs très certainement ce qui vous sera proposé : venez, participez, apprenez, et une fois que vous vous êtes fait une idée précise de tout ce qu’une conversion implique dans les faits, prenez votre décision et engagez-vous plus avant. Ou pas. Le choix vous appartient. … mais cela peut tout de même être utile. Vous pouvez très bien passer des années à participer aux activités de Kehilat Kedem sans pour autant vous convertir. Mais cela veut dire que votre implication demeurera limitée : tant que vous n’aurez pas achevé votre démarche de conversion au judaïsme, vous ne compterez pas au minian, ne pourrez pas monter à la Torah et ne pourrez pas prendre de responsabilités au sein de l’association. Pour ma part, ce dernier aspect a été une puissante motivation pour achever ma conversion. Préparez-vous à (beaucoup) étudier Dans un premier temps, vous allez devoir apprendre des bases de langue hébraïque, étudier la liturgie juive, vous familiariser avec le calendrier hébraïque et acquérir un vocabulaire spécialisé, riche et complexe. Cela ne va pas se faire tout seul. Si vous le souhaitez, vous pouvez suivre les cours d’introduction au judaïsme et d’hébreu biblique proposés par Kehilat Kedem. Vous pouvez également demander des cours particuliers à un rabbin ou autre enseignant. Mais quel que soit votre choix, sachez que tout cela représente beaucoup de travail. La conversion au judaïsme prend du temps Comptez un grand minimum de deux ans, à supposer que vous suiviez des cours d’hébreu et d’introduction au judaïsme toutes les semaines et assistiez à tous les offices ou presque. Pour la plupart des gens, la conversion au judaïsme représente plutôt trois à quatre ans. Pour ma part, elle a pris sept ans : il faut dire qu’au milieu de cette période, mon emploi du temps a été plutôt secoué par la naissance de mes deux filles. La vie juive en prend aussi ! On attend de tout membre de la communauté qu’il mène une vie juive. Cela signifie non seulement adhérer aux valeurs et aux coutumes du judaïsme, mais également s’inscrire dans la communauté, assister aux offices hebdomadaires et aux célébrations des fêtes juives, et ainsi de suite. Quand vous êtes en phase de conversion, il faut y ajouter le temps de cours et/ou d’études personnelles. Selon votre pratique personnelle et vos possibilités personnelles, attendez-vous à investir dans votre vie juive entre trois et huit soirées par mois, le double si vous êtes en période de conversion. La conversion au judaïsme est une forme d’acculturation La conversion au judaïsme n’est pas une adhésion à un credo prédéfini. Voyez-la plutôt comme l’apprentissage d’une culture étrangère, de ses rites, de ses coutumes, de ses habitudes, de sa cuisine et de son mode de vie. Comparez-vous à une personne immigrant dans un pays étranger et souhaitant s’y intégrer : apprendre la langue est une première étape mais ne suffit pas.   La conversion au judaïsme est une affaire de famille Votre conversion ne concerne pas que vous : si vous vivez en couple, il sera exigé que votre conjoint soit mis au courant de votre démarche. Il ou elle n’a pas besoin de vous donner son approbation mais vous ne pouvez pas vous convertir à son insu. Le judaïsme libéral reconnaissant la filiation juive pour les deux parents, vos enfants à venir (ainsi que les enfants en bas âge que vous avez déjà) seront considérés comme Juifs après votre conversion si vous êtes une femme; si vous êtes un homme, ils pourront être facilement convertis dans leur jeune âge si leur mère donne son accord et que vous vous engagez tous deux à les élever dans le judaïsme. La foi n’est pas indispensable… Le judaïsme ne vous demande pas de croire mais de pratiquer : ce qui se passe dans votre tête et votre cœur vous regarde seul. La foi, c’est entre D.ieu et vous. Personne ne viendra jamais vous demander si vous croyez en D.ieu, ni comment vous y croyez. C’est intime, personnel, secret. Et ça ne regarde pas la communauté. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’évolution spirituelle durant le processus de conversion; il y [suite]

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    Synagogue libérale de Montpellier, Kehilat Kedem s’inscrit dans le mouvement du judaïsme réformé. Notre synagogue vous accueille quelles que soient vos convictions, vos préférences personnelles, votre vie privée ou votre niveau de pratique religieuse. Elle propose un vaste éventail d’activités, ouvertes à tous.

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