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Étiquette : Juda

Home / Juda
27décembre
2022

Vayigash ou la fraternité messianique – par le rabbin Yeshaya Dalsace

27/12/2022
admin
Parasha & haftarah de la semaine, Vidéos & audios
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Dans la parasha Vayigash, Juda, qui n’a toujours par reconnu Joseph, tente d’obtenir de lui la libération de Benjamin, dont il s’est porté garant auprès de leur père Jacob. Il s’offre lui-même comme serviteur en lieu et place du jeune homme. Joseph révèle alors son identité et assure ses frères de son pardon. Il les renvoie en les chargeant de convaincre Jacob de venir le rejoindre en Egypte. Jacob a une vision l’autorisant à quitter Canaan, avec la promesse qu’il y sera inhumé.

Jacob est présenté par Joseph à Pharaon et toute la tribu s’installe en Egypte. La famine se poursuit. Grâce à l’administration de Joseph, l’Egypte n’en souffre pas trop et Pharaon étend et centralise son autorité sur le pays.

https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/1430_DALSACE.mp4

Illustration : Tom Podmore – Unsplash

GenèseJacobJosephJuda
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20décembre
2022

Mikets : histoires de rêveurs – par le rabbin Pauline Bebe

20/12/2022
admin
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Dans la parasha Mikets, nous retrouvons Joseph, toujours en train de croupir dans les geôles égyptiennes. Deux ans après la précédente parasha, Pharaon fait une série de rêves étranges, que personne ne parvient à interpréter. Son échanson se souvient alors de l’hébreu qu’il avait connu quand il était lui-même en prison et qui avait interprété ses songes. Il fait sortir Joseph de prison et celui-ci parvient à déchiffrer les rêves du monarque, lui prédisant sept années de disette à la suite de sept années d’abondance. Joseph conseille à Pharaon de faire des réserves de grain en prévision des années de « vaches maigres », et le souverain le nomme ministre, le chargeant de cette mission.

Quand la famine apparaît effectivement, Joseph est ainsi en mesure de nourrir le royaume, mais aussi les pays des alentours. Il a deux fils : Ephraïm et Manassé.

En Canaan, la famine touche également la tribu de Jacob. Celui-ci envoie les plus âgés de ses fils (tous à l’exception de Benjamin) en Egypte pour y acheter du grain. Ils sont arrêtés par les soldats égyptiens et comparaissent devant Joseph, qui les reconnaît mais qu’ils ne reconnaissent pas. Il garde Siméon en otage et envoie les autres chercher Benjamin, après avoir secrètement rempli leurs sacs de nourriture sans accepter leur paiement.

Jacob laisse ses fils repartir avec Benjamin, sous la protection de Juda. Joseph les accueille, leur donne un grand festin et libère Siméon. Mais il met en scène une accusation en cachant une coupe dans leur bagage, les accusant de l’avoir volé. Il désigne Benjamin comme voleur et exige d’en faire son serviteur.

https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/1406_BEBE.mp4

Illustration : Jr Korpa – Unsplash

BenjaminGenèseJosephJuda
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13décembre
2022

Vayechev ou les habits du mensonge

13/12/2022
admin
Parasha & haftarah de la semaine, Vidéos & audios
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La parasha Vayechev nous présente Jacob installé en Canaan, et ayant pour fils préféré Joseph. Celui-ci a des visions dans lesquelles il voit ses frères se prosterner devant lui ; les relations avec le reste de la fratrie sont difficiles. Alors que Joseph va garder les troupeaux de son père près de Sichem, ses frères le battent ; ils sont tentés de le tuer mais Juda insiste pour qu’il ne soit pas assassiné, mais vendu comme esclave à des marchands ismaélites, qui l’emmènent en Egypte. Il y est acheté par Putiphar, un haut dignitaire de la cour de Pharaon.

Parallèlement, Juda marie son fils aîné à Tamar ; après la mort de son époux, Tamar, en vertu de la loi du lévirat, devient l’épouse d’Onan, mais celui-ci meurt également, après avoir refusé de lui donner une descendance. Elle doit se prostituer pour subvenir à ses besoins et va avoir comme client son propre beau-père Juda qui, n’ayant pas d’argent sur lui, lui laisse son anneau et son bâton en gage. Quand il apprend que sa belle-fille est enceinte, Juda envisage de la mettre à mort mais elle lui présente l’anneau et le bâton, sans pour autant l’accuser. Il l’épargne, et de leur union viendra la tribu de Juda, et, à travers elle, la Maison de David.

En Egypte, Joseph est apprécié par son maître mais il est également jugé séduisant par l’épouse de celui-ci. Comme il refuse de commettre l’adultère avec elle, elle l’accuse de viol et il est jeté en prison. Dans son cachot, il rencontre deux ministres déchus de Pharaon, qui font des rêves qu’il parvient à déchiffrer. Comme Joseph l’avait prédit, l’un deux retourne bientôt en grâce.

https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/4373_HUBERMAN.mp4

Illustration : Joseph vendu par ses frères, Constantin Flavitsky

 

JacobJosephJudaOnanPutipharTamar
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21novembre
2021

La haftarah de Vayéchev

21/11/2021
George-Elia Sarfati
Parasha & haftarah de la semaine, Réflexions
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Par Georges-Elia Sarfati

(Amos 2,6 – 3,8)

Les Sages ont choisi deux extraits du livre d’Amos pour interroger certains grands thèmes amenés par la sidra Vayéchev. Rappelons que ce prophète – qui niait faire œuvre de prophétie – fut actif au VIIIe siècle avant l’ère commune ; et bien qu’originaire de Juda, il exerça son magistère dans le royaume du Nord, à une époque où la prospérité allait de pair avec la corruption matérielle et morale. Dénoncé par le chef des prêtres, il dut quitter le royaume, mais la tonalité de ses oracles a durablement marqué l’esprit de la prophétie hébraïque.

Cet extrait du Livre d’Amos introduit très tôt le thème qui fait lien avec l’épisode de la relation que Juda entretient avec Tamar, laquelle s’est présentée à lui sous la guise d’une prostituée (Gn. 38, 14-17). Sans doute l’a-t-elle fait pour mettre à l’épreuve sa moralité. A l’époque d’Amos, la référence est encore assez vive dans les esprits pour paraître en filigrane : « (2, 7. (…) Le fils et le père fréquentent la prostituée, outrageant ainsi mon nom sacré. Ils s’étendent, près de chaque autel, sur des vêtements pris en gage, et le vin provenant des amendes, ils le boivent dans le temple de leurs dieux. »

Que la dénonciation d’Amos soit ici entendue littéralement, ou allusivement, elle souligne dans les deux cas ce que le principe même de la prostitution suppose : le fait de faire commerce de la vie d’autrui, dans des conditions nécessairement dégradantes.

Quel étrange épisode en effet que celui de Juda et Tamar, inséré dans la sidra Vayéchev comme une parenthèse narrative, mais qui prend aujourd’hui un relief si particulier. En effet, dans le récit biblique, c’est la descente de Joseph en Egypte qui prévaut, tandis que l’histoire de Juda et Tamar occupe l’arrière-plan. Longtemps, comme on le sait, le peuple d’Israël a vécu en Egypte (représentation de la diaspora où tout est possible : le malheur autant que la prospérité, suivie d’un nouveau cycle de malheurs), tandis que l’aspiration ‘’judéenne’’ demeurait minoritaire. Depuis l’éveil du sionisme à la fin du XIXe siècle, et son accomplissement national depuis 1948, l’histoire du peuple d’Israël a commencé d’inverser cette répartition : l’esprit de Joseph n’est plus représentatif de la majorité, tandis que le peuple d’Israël est entré dans un cycle judéen. Le mouvement de balancier de l’histoire voulue a aussi pour conséquence de placer Juda devant les écueils de toute société, ancienne ou nouvelle : le risque de la défaite de ses propres idéaux, dans la confrontation aux contraintes de la guerre économique. De cela, il est déjà question chez Amos : « Ainsi parle l’Eternel : « (2, 6-7)- A cause du triple, du quadruple crime de Juda, je ne le révoquerai pas mon arrêt : parce qu’ils vendent le juste pour de l’argent et le pauvre pour une paire de sandales. Ils convoitent jusqu’à la poussière du sol répandue sur la tête du malheureux, ils font dévier la route des humbles. »

YHDH (Yehuda)/YHWH (Yahwé)

Les paroles d’Amos, qui ont fait souche dans la prophétie hébraïque en lui léguant une incoercible exigence de justice, résonnent encore pour nous. Elles opèrent comme un prisme de lecture de la modernité d’Israël, un rappel permanent à l’ordre de son style éthique. Il n’est pas dans la nature de l’éthique sociale d’Israël d’imposer comme une norme naturelle la chosification d’autrui, constitué en moyen en vue d’une fin. Cette manière d’être reconduit l’une des plus affreuses formes de servitude. Une société prenant corps dans le nouvel Etat judéen foule aux pieds ses propres valeurs lorsqu’elle ne réduit pas la pauvreté, mais la décuple, tandis que s’accroît en son sein le crime de cynisme et d’indifférence qui est la pire des indignités. C’était sans doute la teneur, ainsi entendue, du discours d’Amos, il y a 2800 ans. Par-delà sa brutalité visible, cette logique de l’extorsion entraîne une réalité non moins violente, mais moins apparente : l’expropriation de tout contenu d’intériorité. Dans une telle société, la différence spirituelle tend à se voir marginalisée. C’est ainsi que la violence de la nécessité économique détourne nombre de jeunes gens d’une vocation à peine embrassée ; elle sème le découragement dans leur cœur. Cette société corrompt et détourne de leur dessein les âmes pures. Amos, encore – « 2, 11- Et c’est parmi vos fils que j’ai suscité des prophètes, parmi vos adolescents des Naziréens ! N’en est-il pas ainsi fils d’Israël ? dit l’Eternel. Mais vous avez forcé les Naziréens à boire du vin, et aux prophètes vous avez fait défense de prophétiser !

Est-ce donc là, la société érigée au nom de l’humanisme hébraïque, promise par le Texte de sa Déclaration d’Indépendance, celle qui déracine d’elle-même, les conditions de sa propre espérance ? Cependant, sans le savoir peut être, Juda conserve la prémonition de ce que veut dire son nom : qu’il provient de Judée, qu’il y demeure, envisage de s’y établir, ou refuse cette perspective. Il sait – même s’il en ignore aujourd’hui les détails –  que son histoire est marquée du stigmate de la violence et de la persécution, mais qu’elle est aussi une histoire de sursaut pour reconquérir sa dignité. Il sait encore que son existence ne va pas de soi, que ses ennemis sont encore nombreux, et que pour autant qu’il réside sur la terre d’Israël, celle-ci n’est guère assurée. Mais Juda sait aussi, d’une certitude plus secrète encore que ce que lui en dit sa désignation, que son nom d’appartenance (Juda/Judée) miroite encore de l’un des noms encryptés du Créateur : YHDH (Yehuda)/YHWH (Yahwé).

Cette proximité – connue des prophètes, puis de la tradition kabbalistique –  s’exprime dans l’interpellation d’Amos : « (3, 1-2)- Ecoutez cette parole que prononce l’Eternel sur vous, enfants d’Israël, sur toute la famille que j’ai retirée du pays d’Egypte ! La voici : « C’est vous seuls que j’ai distingués entre toutes les familles de la terre, c’est pourquoi je vous demande compte de toutes vos fautes. »

Ce rappel ultime (« c’est vous seuls que j’ai distingués… ») précède la formulation de ce qui constitue l’indice explicatif de la rationalité prophétique : « (3, 7-8)- Ainsi le Seigneur n’accomplit rien qu’il n’ait révélé son dessein à ses serviteurs les prophètes. Le lion a rugi : qui n’aurait peur ? Le Seigneur Dieu a parlé : qui ne prophétiserait ? »

Cela, Juda ne peut pas l’oublier.

AmoshaftarahJudaProphèteVayechev
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  • Chema 12 : Juifs d’Etat

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Parasha & Hatftarah
  • Parasha Behaalotekha : la vérité du désir, par Françoise Atlan – psychanalyste

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  • Parasha Nasso: apprendre à gérer sa jouissance – par Armand Abecassis, philosophe

    Dans la parasha Nasso, D.ieu énonce les fonctions des Gershonites et des Mérarites, puis les règles de purification du campement. Contrairement aux Qéhatites, les Gershonites et les Mérarites ont des chariots, mais pas d’ornements aux épaules. Le texte décrit ensuite la structure du camp et l’isolement dont doivent faire l’objet les individus impurs. La loi de mise à l’épreuve de l’épouse accusée d’infidélité est décrite, ainsi que la bénédiction sacerdotale et les offrandes des princes pour le Tabernacle. https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/1522_ABECASSIS.mp4 Photo de Seif Amr sur Unsplash  

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  • Parasha Bamidbar : sommes-nous notre nom ? Par le rabbin Floriane Chinsky

    Dans la parasha Bamidbar, alors que le peuple est dans le désert, D.ieu ordonne à Moïse un nouveau dénombrement et décrit la manière dont les camps doivent être organisés autour du Sanctuaire et comment elles doivent mettre en place leur ordre de marche. Il indique également, au sein des Lévites, les rôles des Kohanim et des Qehatites. https://youtu.be/RP9OdzmSMrk?list=PLnHlXjFx9rOSNkwE38ERhdw-V2RJNu_AU Si vous appréciez les vidéos de Floriane Chinsky, n’hésitez pas à vous abonner à sa chaîne Youtube.  Photo de NEOM sur Unsplash

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La parasha de la semaine, par Judaïsme en Mouvement

Cours & conférences
  • Shavouot : un fondamental du judaïsme, par le rabbin Yann Boissière

    Deuxième Fête de pèlerinage, intimement liée à la fête de Pessah par les 49 jours de la période de l’omer, Shavouoth comporte à la fois des éléments agricoles, historiques et spirituels. Elle est la « Fête du Don de notre Torah », événement fondateur s’il en est, mais aussi l’introduction d’un rapport éthique au monde. Dans ce cours, Yann Boissière en étudie l’histoire, les rites et leur signification, et la manière dont la pensée rabbinique a conçu cette « Révélation » qui n’en est pas une – Dieu ne s’y « révèle » pas, il donne un Livre… https://youtu.be/WXoWVwLShP0 Photo de Seif Amr sur Unsplash

    […]
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    Visions, songes et états modifiés de conscience sont présents dans tous les textes religieux : nos prophètes, mais également, dans le christianisme, l’apôtre Paul, ou encore les visions angéliques de Mahomet. Comment la Bible parle-t-elle des visions et quelle place y donne-t-elle ? https://www.youtube.com/watch?v=QsFe8xf0S3k&list=PL1NaqiieWs8kzpRg_nM3NjB2sk4tO4fsq&index=9 Photo de Илья Мельниченко sur Unsplash

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Culture juive
  • La menora : un symbole branché, par le rabbin Yeshaya Dalsace

    La menora est, à égalité avec la magen David, le symbole et logo le plus commun du judaïsme. Pourtant, une interdiction rabbinique pèse sur les chandeliers à sept branches, interdisant les familles juives d’en posséder, car la menora est supposée être unique : il s’agit en théorie d’un objet unique, autrefois abrité par le Temple. Autre paradoxe : la ménora du Temple n’était jamais vue par le peuple. De plus, la symbolique originelle de l’objet n’est pas très précise, même s’il est vraisemblable qu’il s’agisse d’une représentation stylisée du Buisson Ardent. Dans cette intervention, le rabbin Yeshaya Dalsace revient sur l’histoire et les mythes entourant la ménora. https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/2523_DALSACE.mp4 Illustration : Luis Gonzalez – Unsplash

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Témoignages
  • Yom Hashoah 5783 : lecture des noms

    Au cours d’une lecture publique ininterrompue de 24 heures, les noms de chaque homme, femme et enfant juifs déportés de France sont prononcés un à un. Cette année sont lus les noms des Juifs de France déportés par les convois 74 à 85,puis la liste des Juifs morts dans les camps d’internement en France, la liste des Juifs exécutés comme résistants, comme otages ou exécutés sommairement (listes 90 et 91) et les Juifs déportés par les convois 1 à 21. Sous l’égide de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, Judaisme en Mouvement contribue, en partenariat l’association des Fils et filles des déportés Juifs de France (FFDJF), le Consistoire de Paris et le Consistoire de France, à l’organisation de la lecture en distanciel. Cette lecture aura lieu dans la nuit du 17 au 18 avril, entre 0h55 et 06h12, et concerneral es listes 90 et 91 et les convois 1 à 4.  Renseignements et inscription pour participer à la lecture des noms: yomhashoah@judaismeenmouvement.org  

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