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Étiquette : Amos

Home / Amos
21novembre
2021

La haftarah de Vayéchev

21/11/2021
George-Elia Sarfati
Parasha & haftarah de la semaine, Réflexions
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Par Georges-Elia Sarfati

(Amos 2,6 – 3,8)

Les Sages ont choisi deux extraits du livre d’Amos pour interroger certains grands thèmes amenés par la sidra Vayéchev. Rappelons que ce prophète – qui niait faire œuvre de prophétie – fut actif au VIIIe siècle avant l’ère commune ; et bien qu’originaire de Juda, il exerça son magistère dans le royaume du Nord, à une époque où la prospérité allait de pair avec la corruption matérielle et morale. Dénoncé par le chef des prêtres, il dut quitter le royaume, mais la tonalité de ses oracles a durablement marqué l’esprit de la prophétie hébraïque.

Cet extrait du Livre d’Amos introduit très tôt le thème qui fait lien avec l’épisode de la relation que Juda entretient avec Tamar, laquelle s’est présentée à lui sous la guise d’une prostituée (Gn. 38, 14-17). Sans doute l’a-t-elle fait pour mettre à l’épreuve sa moralité. A l’époque d’Amos, la référence est encore assez vive dans les esprits pour paraître en filigrane : « (2, 7. (…) Le fils et le père fréquentent la prostituée, outrageant ainsi mon nom sacré. Ils s’étendent, près de chaque autel, sur des vêtements pris en gage, et le vin provenant des amendes, ils le boivent dans le temple de leurs dieux. »

Que la dénonciation d’Amos soit ici entendue littéralement, ou allusivement, elle souligne dans les deux cas ce que le principe même de la prostitution suppose : le fait de faire commerce de la vie d’autrui, dans des conditions nécessairement dégradantes.

Quel étrange épisode en effet que celui de Juda et Tamar, inséré dans la sidra Vayéchev comme une parenthèse narrative, mais qui prend aujourd’hui un relief si particulier. En effet, dans le récit biblique, c’est la descente de Joseph en Egypte qui prévaut, tandis que l’histoire de Juda et Tamar occupe l’arrière-plan. Longtemps, comme on le sait, le peuple d’Israël a vécu en Egypte (représentation de la diaspora où tout est possible : le malheur autant que la prospérité, suivie d’un nouveau cycle de malheurs), tandis que l’aspiration ‘’judéenne’’ demeurait minoritaire. Depuis l’éveil du sionisme à la fin du XIXe siècle, et son accomplissement national depuis 1948, l’histoire du peuple d’Israël a commencé d’inverser cette répartition : l’esprit de Joseph n’est plus représentatif de la majorité, tandis que le peuple d’Israël est entré dans un cycle judéen. Le mouvement de balancier de l’histoire voulue a aussi pour conséquence de placer Juda devant les écueils de toute société, ancienne ou nouvelle : le risque de la défaite de ses propres idéaux, dans la confrontation aux contraintes de la guerre économique. De cela, il est déjà question chez Amos : « Ainsi parle l’Eternel : « (2, 6-7)- A cause du triple, du quadruple crime de Juda, je ne le révoquerai pas mon arrêt : parce qu’ils vendent le juste pour de l’argent et le pauvre pour une paire de sandales. Ils convoitent jusqu’à la poussière du sol répandue sur la tête du malheureux, ils font dévier la route des humbles. »

YHDH (Yehuda)/YHWH (Yahwé)

Les paroles d’Amos, qui ont fait souche dans la prophétie hébraïque en lui léguant une incoercible exigence de justice, résonnent encore pour nous. Elles opèrent comme un prisme de lecture de la modernité d’Israël, un rappel permanent à l’ordre de son style éthique. Il n’est pas dans la nature de l’éthique sociale d’Israël d’imposer comme une norme naturelle la chosification d’autrui, constitué en moyen en vue d’une fin. Cette manière d’être reconduit l’une des plus affreuses formes de servitude. Une société prenant corps dans le nouvel Etat judéen foule aux pieds ses propres valeurs lorsqu’elle ne réduit pas la pauvreté, mais la décuple, tandis que s’accroît en son sein le crime de cynisme et d’indifférence qui est la pire des indignités. C’était sans doute la teneur, ainsi entendue, du discours d’Amos, il y a 2800 ans. Par-delà sa brutalité visible, cette logique de l’extorsion entraîne une réalité non moins violente, mais moins apparente : l’expropriation de tout contenu d’intériorité. Dans une telle société, la différence spirituelle tend à se voir marginalisée. C’est ainsi que la violence de la nécessité économique détourne nombre de jeunes gens d’une vocation à peine embrassée ; elle sème le découragement dans leur cœur. Cette société corrompt et détourne de leur dessein les âmes pures. Amos, encore – « 2, 11- Et c’est parmi vos fils que j’ai suscité des prophètes, parmi vos adolescents des Naziréens ! N’en est-il pas ainsi fils d’Israël ? dit l’Eternel. Mais vous avez forcé les Naziréens à boire du vin, et aux prophètes vous avez fait défense de prophétiser !

Est-ce donc là, la société érigée au nom de l’humanisme hébraïque, promise par le Texte de sa Déclaration d’Indépendance, celle qui déracine d’elle-même, les conditions de sa propre espérance ? Cependant, sans le savoir peut être, Juda conserve la prémonition de ce que veut dire son nom : qu’il provient de Judée, qu’il y demeure, envisage de s’y établir, ou refuse cette perspective. Il sait – même s’il en ignore aujourd’hui les détails –  que son histoire est marquée du stigmate de la violence et de la persécution, mais qu’elle est aussi une histoire de sursaut pour reconquérir sa dignité. Il sait encore que son existence ne va pas de soi, que ses ennemis sont encore nombreux, et que pour autant qu’il réside sur la terre d’Israël, celle-ci n’est guère assurée. Mais Juda sait aussi, d’une certitude plus secrète encore que ce que lui en dit sa désignation, que son nom d’appartenance (Juda/Judée) miroite encore de l’un des noms encryptés du Créateur : YHDH (Yehuda)/YHWH (Yahwé).

Cette proximité – connue des prophètes, puis de la tradition kabbalistique –  s’exprime dans l’interpellation d’Amos : « (3, 1-2)- Ecoutez cette parole que prononce l’Eternel sur vous, enfants d’Israël, sur toute la famille que j’ai retirée du pays d’Egypte ! La voici : « C’est vous seuls que j’ai distingués entre toutes les familles de la terre, c’est pourquoi je vous demande compte de toutes vos fautes. »

Ce rappel ultime (« c’est vous seuls que j’ai distingués… ») précède la formulation de ce qui constitue l’indice explicatif de la rationalité prophétique : « (3, 7-8)- Ainsi le Seigneur n’accomplit rien qu’il n’ait révélé son dessein à ses serviteurs les prophètes. Le lion a rugi : qui n’aurait peur ? Le Seigneur Dieu a parlé : qui ne prophétiserait ? »

Cela, Juda ne peut pas l’oublier.

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  • Trois ans de présidence à Kehilat Kedem

    Le 4 février 2020, Kehilat Kedem venait tout juste de fêter ses 7 ans, et je me proposais comme candidate à la présidence. Un mois plus tard, le premier confinement est décrété. La crise sanitaire officielle perdurera jusqu’à en mi 2022. La septième année de Kehilat Kedem, relayée par les deux années suivantes, sera à quelques égards un tournant dans la jeune histoire de notre communauté : Inauguration d’une présidence qui n’est plus plus assurée par les fondateurs de notre communauté, Claude Bismut et Sophie Bismut, quoique leur présence et leur vigilance discrètes demeurent. Chaque jour, nous avons cherché à honorer leur travail, dont je découvre toujours la sagesse, le discernement et la prudence. Concomitance avec la pandémie qui nous a obligé à revisiter le fonctionnement de nos activités, tout en en assurant la continuité. Bienheureux les juifs qui, dans de telles périodes tumultueuses, disposent d’un calendrier propre, véritable socle et abri, avec ses shabbatot hebdomadaires et ses fêtes quasi-mensuelles ! Il nous a permis de résister et de continuer sans faille le rythme soutenu et imperturbable de nos rendez-vous qui ont rassemblé les fidèles de notre communauté. La crise sanitaire, éprouvante certes, n’a pas été qu’une épreuve difficile. Il nous a fallu composer avec l’incertitude, qui, parfois, peut aussi se présenter comme une invitation à ouvrir de nouvelles portes. Kehilat Kedem a spontanément choisi de profiter de l’imprévisible pour rebondir et exprimer sa vitalité et son dynamisme : augmentation de l’offre de ses activités et élargissement de sa diffusion, multiplication de liens, échanges et partage avec d’autres communautés d’ici et d’ailleurs), nouveaux partenariats avec la communauté juive montpelliéraine, ouverture encore timide sur la société civile, etc. Rappelez-vous, cette période qui s’étale entre 7 et 10 ans (l’approche de la dizaine !), nous avions appris à lire, à compter et à raconter, nous partions à la rencontre du monde, courageux voire téméraires, poussés par le désir de découvertes et de nouvelles expériences ! Notre réponse, du haut de nos jeunes années, face à une situation inédite fut un formidable élan de créativité, et ce, grâce à l’ardeur enthousiaste des responsables (CA et bureau), eux-mêmes soutenus par tous les membres de la communauté elle-même. Ce soutien mutuel et solidaire s’est peut-être aussi avéré, pour chacun d’entre nous, être un pilier sur lequel s’ancrer, par lequel résister, autour duquel réunir nos solitudes et tirer la force d’affronter les difficultés. Kehilat Kedem a rejoint Judaïsme en Mouvement. Au-delà de différents soutiens et bénéfices (rabbiniques, études, transmission auprès des plus jeunes, logistiques, etc.), c’est le sentiment d’appartenir à une grande communauté en mouvement avec laquelle nous partageons les mêmes valeurs qui nous rend plus fort. En rejoignant JEM, nous nous engageons à faire connaître et reconnaître un Judaïsme inclusif, ouvert et sensible aux questions existentielles actuelles, un judaïsme acteur dans la Cité, nous rejoignons le combat pour une reconnaissance auprès des Institutions qui nous gouvernent, auprès de la société française dans son ensemble, afin que la voix du Judaïsme libéral compte et soit entendue. Quelle belle aventure que ces trois années intenses : joie partagée, travail d’équipe, échanges, rencontres, difficultés -parfois- à surmonter, de bonne fatigue ! Alors, je formule le souhait que Kehilat Kedem continue à se développer et à s’épanouir grâce à une implication croissante de chacun de ses membres, chacun selon son rythme et sa conscience. Kehilat Kedem tout en s’enracinant dans son origine regarde l’avenir, du côté du soleil levant, ainsi que le proclame son nom. Un futur gros de promesses et d’ouvertures dont nous sommes chacun et chaque jour responsables. Un grand Mazel Tov à Julien Taillandier, nouveau président de notre chère et précieuse communauté auquel je suis heureuse de laisser la place en toute confiance, Un grand Mazel Tov aussi à toute l’équipe qui compose le nouveau CA ! Margot Levine   Photo : Sixteen Miles Out – Unsplash      

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Parasha & Hatftarah
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