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Étiquette : Souccot

Home / Souccot
22septembre
2020

Kabbalat Shabbat

22/09/2020
Sylvie Friedman
0

Office participatif en ligne, pour ce shabbat qui sera celui du 5e jour de Souccot, la Fête des Cabanes.

 

 

ShabbatSouccotVie religieuse
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20septembre
2020

Dans la soucca !

20/09/2020
Margot Levine
0

Venez fêter joyeusement Souccot, en partageant un moment dans la soucca !

Entre 18h et 20h, chez Nathalie.


     

    Grandes FêtesSouccot
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    19septembre
    2020

    Souccot ou la fragilité de l’existence

    19/09/2020
    Haïm Cipriani
    Réflexions
    0
    Par le rabbin Haim F. Cipriani

     

    Dans le livre du Lévitique/Vayikra, toutes les fêtes de l’année juive sont répertoriées.

    Après avoir conclu cette liste, le texte ajoute :

    «Ce sont les solennités de YHWH dans lesquelles vous proclamerez des appels de distinction, […] Mais le quinzième jour du septième mois, lorsque vous aurez récolté la moisson de la terre, vous célébrerez une fête pour YHVH pendant sept jours. […] Vous habiterez sept jours dans des souccot/cabanes ; tous les citoyens d’Israël habiteront dans des souccot/cabanes», (Lév. 23 : 37-42).

    La fête de Souccot, qui avait déjà été détaillée au sein de la liste, est ensuite reprise et introduite par le mot « mais », pour souligner sa particularité. En fait, Souccot clôt les récoltes agricoles, et conclut la saison des fêtes juives, pour cette raison on l’appelle  Hag haAssif, la fête de la récolte, car en un certain sens elle conserve tout l’héritage de l’année juive.

    Souccot : une fête pour lutter contre l’embourgeoisement des esprits

    Dans la littérature rabbinique, Souccot est appelée « la fête » par excellence, peut-être parce que la dimension miraculeuse y est pratiquement absente. En fait, aucun événement précis n’est commémoré, mais nous y retrouvons tout simplement la vie quotidienne du peuple d’Israël dans le désert, animée par la confiance mais suspendue et sans certitudes. Quelques jours après Yom Kippour, et à la fin du cycle des fêtes annuelles, c’est-à-dire dans une situation où un équilibre intérieur satisfaisant aurait dû être atteint, nous sommes obligés de quitter nos résidences confortables et de vivre pendant une semaine dans un environnement précaire. cabane, la Soucca.  Pour nous rappeler que la vie est nomadisme, remise en question nécessaire et constante de ce que l’on aurait pu considérer comme acquis.

    Si d’un côté il est humain de vouloir cristalliser les choses et de vouloir thésauriser les résultats obtenus, le judaïsme considère l’embourgeoisement de l’esprit comme l’un des risques les plus grands et les plus insidieux. Ainsi, la loi juive prescrit de sortir de la solidité présumée de ses demeures, de ses convictions et de ce que l’on croit acquis, pour célébrer avec joie la fragilité et l’éphémère de la condition humaine.

     

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    Dernières nouvelles
    • Enquête européenne sur l’antisémitisme

      L’enquête la plus complète qui existe sur les perceptions et expériences des Juifs de l’antisémitisme dans l’Union Européenne est aujourd’hui ouverte à la participation sur www.eujews.eu Nous vous encourageons vivement à participer à cette enquête qui est ouverte à toutes les personnes de 16 ans et plus qui se considèrent juives. L’enquête de l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA) collectera des données dans 13 États membres de l’Union Européenne. Les conclusions aideront les autorités nationales et les institutions européennes dans leurs efforts pour mieux protéger les droits fondamentaux de Juifs, combattre l’antisémitisme et favoriser la vie juive en Europe. Rendez-vous sur www.eujews.eu dès maintenant pour en savoir plus sur l’enquête et y participer. L’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne et ses partenaires garantissent le respect des règles de protection de toutes les données durant la collecte et l’analyse. Merci de partager le lien de cette enquête avec votre famille et vos connaissances – en particulier avec les personnes qui n’appartiennent à aucune organisation juive afin de garantir la participation la plus large possible.

      [suite]

    Parasha & Hatftarah
    • Parasha Bo : Moïse et la pensée magique, par Paul-Laurent Assoun, psychanalyste

      Dans la parasha Bo, D.ieu ordonne à Moïse de venir vers Pharaon. Les trois dernières plaies s’abattent sur Misraïm : les criquets, puis les ténèbres, puis la mort des premiers-nés. Il est ordonné aux Israélites de compter ce mois (appelé Aviv à l’époque, et qui sera par la suite appelé Nissan) comme premier du calendrier, et de procéder au sacrifice pascal. Ils marquent les linteaux de leurs portes du sang du sacrifice afin que la mort ne touche pas leurs demeures et, une semaine durant, consomment des pains sans levain. Après la dernière plaie, Pharaon ordonne l’expulsion des Hébreux, qui reprennent aux Egyptiens les richesses dont ils avaient été spoliés. Les Israélites commencent à quitter l’Egypte. D.ieu ordonne que Lui soient consacrés les premiers-nés mâles, parmi leurs enfants comme parmi leur bétail. https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/3790_ASSOUN.mp4 Illustration : Mark Tegethoff – Unsplash

      [suite]
    • Parasha Vaera : une tragique passivité, par le rabbin Floriane Chinsky

      Dans la parasha Vaera, D.ieu, qui jusqu’alors s’était fait appeler El Shaddaï par les Patriarches, Se présente à Moïse comme Hashem. Il fait s’abattre sur l’Egypte des plaies pour forcer Pharaon à autoriser les Hébreux à aller Lui rendre un culte dans le désert. Pharaon endurcit cependant son cœur, et refuse de céder. Puis, à la sixième plaie, c’est D.ieu qui endurcit le cœur du monarque. https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/2021_CHINSKY.mp4   Illustration : Rene Asmussen – Pexels  

      [suite]
    • Introduction à Shemot (Exode) : l’identité de Moïse selon Manitou

      On peut étudier les textes d’une manière historique et historiographique : c’est le cas, par exemple, des cours du Collège de France que nous partageons, en parallèle des commentaires de la parasha de la semaine. On peut également les étudier d’un point de vue religieux, philosophique, moral, éthique … et aucune de ces études n’a vocation à être en opposition avec les autres. Voici ce que le Rav Leon Ashenazi, dit Manitou, a enseigné au sujet de l’identité de Moïse, et qui peut constituer une introduction au livre de Shemot (Exode). Ce cours, qui date du début des années 1990, a été donné à la fin de la vie de Manitou et correspond donc à l’un des moments les plus aboutis de sa pensée. Source : Toumanitou Illustration : Laura Seaman – Unsplash  

      [suite]

    Cours & conférences
    • Mythes et histoires du livre de l’Exode – par Thomas Römer, du Collège de France – Troisième partie

      Dans cette troisième partie de son cycle de cours de 2013-2014 consacré au livre de l’Exode (Shemot), Thomas Römer se penche sur l’épisode de la théophanie du buisson ardent et son rapport symbolique avec la Ménorah; il étudie les premières mentions d’Israël en tant que « peuple de l’Eternel », l’assimilation possible de Moïse à Osarsiph, ainsi que les parallèles entre la vocation de Moïse et celles de Gédéon et de Jérémie. Il s’intéresse ensuite à la révélation du Nom divin, à l’étrange épisode dans lequel D.ieu semble tenté de tuer Moïse, et enfin à la préparation des plaies d’Egypte. Moïse au buisson ardent https://www.youtube.com/watch?v=aGcTp43FLfE&ab_channel=Histoireetarch%C3%A9ologie-Coll%C3%A8gedeFrance Du nom divin à l’attaque de Moïse : la préparation des plaies https://www.youtube.com/watch?v=m_UM_CDNyso&ab_channel=Histoireetarch%C3%A9ologie-Coll%C3%A8gedeFrance Illustration : Arnau Soler – Unsplash

      […]
    • La Téfila, la Berakha et l’office, mode d’emploi, par le rabbin Philippe Haddad

      Qu’est-ce que la prière juive ? Quelle différence entre Téfila et Bérakha ? Que sont, exactement, les significations profondes de ces pratiques ? Philippe Haddad revient, dans ce petit cours, sur la nature profonde de la prière juive, son esprit, son sens. Un acte qui nous est quotidien, si quotidien qu’on en oublie parfois les tenants et aboutissants. https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/2772_HADDAD.mp4 Illustration : shraga kopstein – Unsplash

      […]

    Culture juive
    • Le coeur pensant – discours de David Grossman

      Le Prix Erasme 2022 a été remis à l’écrivain israélien David Grossman. Son discours de réception du prix, intitulé Mending a torn world (« Réparer un monde brisé ») n’est pas sans évoquer le thème, typiquement juif, du Tiqqun Olam. En voici une traduction libre.  Vos majestés, vos altesses royales, vos excellences, mes chers amis, ma famille bien-aimée, mesdames et messieurs :   Il y a soixante et un ans, alors que j’étais un petit garçon de huit ans, j’ai eu une petite révélation. Cela s’est passé dans le bus numéro 18, à Jérusalem, alors que j’étais sur le chemin de l’école tôt un matin. La radio était allumée, et elle diffusait une interview du pianiste Arthur Rubinstein. L’interviewer a demandé : « M. Rubinstein, à l’occasion de votre 75e anniversaire, pourriez-vous résumer votre vie en une phrase ? » Sans hésiter, Rubinstein a répondu : « L’art a fait de moi un homme heureux. Grâce à l’art, j’ai connu le bonheur. »   Je me souviens avoir été étonné et même un peu gêné : dans les années 1950, avec l’ombre lourde du passé qui planait encore au-dessus de nous, le mot « heureux » n’était pas quelque chose que l’on était censé dire en public. Je ne pense pas connaître une seule personne – parmi les cercles d’amis de mes parents – qui aurait osé affirmer, à haute voix, qu’elle était heureuse. Les passagers du bus ce jour-là, des gens fatigués qui vivaient dans mon quartier ouvrier, ne partageaient certainement pas le droit des Américains à « la poursuite du bonheur », que j’allais lire des années plus tard dans la Déclaration d’indépendance des États-Unis.   Ce mot incroyable, bonheur (en hébreu : osher), roulait dans le bus comme une pièce d’or, et moi – avec les yeux d’un enfant – je regardais la pièce imaginaire et je savais : je veux cette chose dont parle M. Rubinstein. Je veux ce bonheur particulier. Je veux être un artiste.   Plus de six décennies se sont écoulées depuis ce jour, et l’art – l’écriture – m’a apporté un grand bonheur, un peu comme le bonheur que je ressens ici aujourd’hui, avec vous. Le bonheur d’être reconnu, et plus encore, d’être compris. Même lorsque l’écriture me causait de la douleur et de la souffrance, c’était une douleur qui avait un sens, une souffrance qui vient en touchant les matériaux authentiques et primaires de la vie. La littérature – l’écriture – m’a appris le plaisir de faire quelque chose de délicat et de précis dans un monde grossier et trouble.   Je suis un homme absolument laïque. Je ne peux pas croire en un Dieu qui m’aiderait à affronter le chaos de l’existence. Et pourtant, l’écriture m’a montré la voie – je l’appellerai la voie laïque – qui consiste à éprouver un horrible sentiment de néant, à plonger dans la perte et la négation totale de la vie, tout en éprouvant simultanément un vif sentiment de vitalité, de plénitude et de positivité de la vie. Même après la tragédie qui a frappé ma famille lorsque nous avons perdu notre fils, Uri, à la guerre, j’ai appris que ce qui me permet de résister à cette dualité d’absence et de présence – qui est pour moi l’essence de l’existence humaine – c’est d’être immergé dans l’acte de création, dans l’art.   Mesdames et Messieurs, chers amis : le thème du prix Erasmus cette année est « Réparer un monde déchiré ». Ce terme trouve son origine dans une ancienne notion juive conçue il y a plus de 2 000 ans. Réparer le monde » (en hébreu : tikkun olam) décrit une composante fondamentale de l’identité juive : une aspiration et une obligation d’améliorer notre monde ; un sens de la responsabilité morale envers tous les peuples, qu’ils soient juifs ou non ; et une préoccupation pour la justice sociale et même l’environnement.   Si seulement je pouvais dire que les résultats des récentes élections israéliennes expriment ce genre de positions humanistes, égalitaires et morales. Ce n’est pas le cas. Néanmoins, je me rappelle sans cesse qu’il y a encore beaucoup de gens en Israël pour qui le désespoir n’est pas une option. Pour qui l’apathie ou l’évasion sont des luxes qu’ils ne peuvent pas se permettre et qu’ils ne veulent pas. Nous sommes encore là. Nos partis ont peut-être perdu, mais nos valeurs et nos convictions n’ont pas été vaincues, et elles sont plus cruciales que jamais.   La vie au Moyen-Orient m’a appris à me contenter de peu lorsqu’il s’agit de mes propres souhaits, également. Peut-être connaissez-vous l’anecdote de ce citoyen américain qui, pendant la guerre du Viêt Nam, avait l’habitude de rester devant la Maison Blanche pendant des heures tous les vendredis, en tenant une pancarte de protestation contre la guerre. Un jour, un journaliste s’est approché de lui et lui a demandé, avec un sourire sardonique : « Pensez-vous vraiment que vous allez changer le monde si vous continuez à vous tenir ici ? ». « Changer le monde ? » répondit l’homme avec surprise, « Je n’ai pas l’intention de changer le monde. Je m’assure simplement que le monde ne me change pas. »   En tant que personne ayant passé toute sa vie dans une zone sinistrée – encore une fois, le Moyen-Orient – je sais combien il est facile de céder au « monde », c’est-à-dire au cynisme, à l’apathie, au désespoir. Et de là, le chemin est court vers le fanatisme religieux, le nationalisme, le fascisme.   Lorsque je cherche un esprit vraiment libre, une personne qui pourrait me servir de modèle dans ma lutte contre le désespoir, je pense à cette juive hollandaise courageuse et courageuse qui a vécu ici à Amsterdam pendant la Seconde Guerre mondiale et l’Holocauste : Etty Hillesum est entrée de son plein gré dans le camp de concentration de Westerbork, avant d’être assassinée à Auschwitz.   Hillesum, comme vous le savez, a réussi à rester une femme libre même sous le plus dur esclavage, et tout son être était un mouvement de l’âme contre la force gravitationnelle du désespoir. Voici ce qu’elle a [suite]

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    Témoignages
    • Enquête européenne sur l’antisémitisme

      L’enquête la plus complète qui existe sur les perceptions et expériences des Juifs de l’antisémitisme dans l’Union Européenne est aujourd’hui ouverte à la participation sur www.eujews.eu Nous vous encourageons vivement à participer à cette enquête qui est ouverte à toutes les personnes de 16 ans et plus qui se considèrent juives. L’enquête de l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA) collectera des données dans 13 États membres de l’Union Européenne. Les conclusions aideront les autorités nationales et les institutions européennes dans leurs efforts pour mieux protéger les droits fondamentaux de Juifs, combattre l’antisémitisme et favoriser la vie juive en Europe. Rendez-vous sur www.eujews.eu dès maintenant pour en savoir plus sur l’enquête et y participer. L’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne et ses partenaires garantissent le respect des règles de protection de toutes les données durant la collecte et l’analyse. Merci de partager le lien de cette enquête avec votre famille et vos connaissances – en particulier avec les personnes qui n’appartiennent à aucune organisation juive afin de garantir la participation la plus large possible.

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