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Parasha Vayétsé : Il faut savoir partir

09/11/2021
Sophie Bismut
Parasha & haftarah de la semaine
0
Par Sophie Bismut

Après la parachat Toledot qui racontait les années de jeunesse de notre patriarche Jacob, la parachat Vayetse est consacrée à ses années d’exil. Jacob a quitté Beer-sheva vers l’Est pour fuir la colère de son frère Esaü à qui il a pris la bénédiction de leur père Isaac. Il s’installe à Haran chez son oncle Laban où il va passer vingt années.

La paracha commence avec un coucher de soleil et le début de la nuit où Jacob est visité en rêve par des anges (le fameux rêve de l’échelle de Jacob). Elle se termine avec un lever de soleil et le début d’une journée où des anges viennent à sa rencontre. Ces années d’exil apparaissent comme une seule nuit, « la nuit profonde de l’âme » pour reprendre l’expression de Aviva Zornberg, commentatrice biblique contemporaine, où Jacob est confronté aux trahisons de Laban et, par là-même à ses propres tromperies.

Un départ rendu indispensable….

Ces vingt années sont marquées par le conflit avec Laban. Lorsque Jacob arrive chez son oncle Laban après avoir trompé son propre père Isaac et son frère Ésaü, Laban le fait travailler pendant sept ans pour gagner le droit d’épouser Rachel. Mais il le trompe et lui fait épouser à sa place Léa, la sœur ainée de Rachel. Jacob va devoir travailler sept années de plus pour pouvoir s’unir à Rachel. Dans les années suivantes, Laban continue d’exploiter Jacob qui s’occupe de ses troupeaux et assure sa prospérité. La Torah nous dit qu’il ajuste son salaire par dix fois et l’on comprend bien que ce n’est pas à la hausse (Gn: 31,7).

Toutes ces années sont marquées par la défiance, la tromperie, ainsi que par la jalousie des fils de Laban. Lorsque Jacob cherche à partir, Laban tente de le piéger de nouveau pour continuer à profiter de son savoir-faire. Jacob répond par la ruse pour protéger ses intérêts. Finalement, Jacob décide qu’il est temps de quitter Laban. Il s’enfuit avec sa famille et lorsque Laban l’apprend trois jours après, il part à sa poursuite avec ses troupes et le rattrape au bout de sept jours. La dernière partie de la paracha nous amène ainsi au point culminant de ce conflit.

Contrairement peut-être à nos attentes, l’histoire se termine pacifiquement. Les deux hommes concluent un pacte, et le marquent cérémonieusement en construisant un monument de pierres et en prenant un repas ensemble. L’accord n’est toutefois pas complet. Il s’agit plutôt d’un pacte de non-agression. Jacob et Laban ne s’entendent d’ailleurs pas sur le nom du lieu du monument. Surtout, au matin, chacun repart de son côté, définitivement.

Comment a-t-on pu en arriver à cette issue ? Le récit montre tout d’abord qu’une telle résolution nécessite d’abord une confrontation. Jacob avait fui son frère, il a fui Laban mais se trouve ici rattrapé pour la première fois dans sa fuite. Il ne peut plus fuir et doit faire face, ce qui préfigure les retrouvailles à venir avec son frère. Après des années de conflit larvé, Jacob et Laban s’affrontent. Laban se dit blessé que Jacob soit parti sans lui donner l’occasion de dire au revoir à ses enfants et petits-enfants. Jacob exprime avec virulence tout son ressentiment pour les années de dur labeur, d’exploitation et de tromperies.

… pour retrouver ses valeurs et accomplir la promesse divine

La résolution du conflit passe aussi par l’acceptation par chacun d’une séparation définitive. Tout comme l’avait fait Abraham avec Lot, Jacob met de la distance avec Laban. Pour Jacob, le départ est rendu indispensable par une prise de conscience d’une exigence vitale. Il ne s’agit pas seulement pour lui de conquérir son autonomie matérielle, mais aussi d’une exigence morale et spirituelle.

Dans la nuit qui précède son départ de Haran, Jacob fait un rêve dans lequel il est question de troupeaux qui se multiplient. À la fin de ce rêve, un ange apparaît qui lui dit « Maintenant, lève-toi, sors de ce pays, et retourne au pays de ta naissance » (Gn 31:13). Avant d’arriver à Haran, Jacob avait vu en rêve des anges montant et descendant une échelle allant de la terre au ciel. Dans ce nouveau rêve, l’ange semble lui montrer qu’il ne rêve plus d’anges et d’échelle montant au ciel, mais qu’il ne sait plus rêver que de troupeaux de chèvres et de brebis. Jacob est confronté à ce qu’il est devenu ou est en train de devenir, une sorte de deuxième Laban, enfermé dans des aspirations personnelles et instrumentalisant son entourage. Pour retrouver ses valeurs et accomplir la promesse divine, Jacob doit quitter Laban.

Le conflit et la rupture de Jacob avec Laban nous apprennent que nous ne pouvons pas nous abstraire de notre entourage, et que nous ne pouvons pas toujours accepter de composer avec des valeurs incompatibles avec nos valeurs. Il nous faut prendre conscience que nos pensées et nos actions sont influencées par tous ceux qui nous entourent, parfois de manière positive, parfois de manière négative. La séparation et la mise à distance sont parfois nécessaires pour construire son propre chemin, un chemin de recherche de la justice.

C’est ce que dit le tout début du livre des Psaumes (Ps 1.1, 6) : « Heureux celui qui ne suit pas le conseil des méchants, qui ne se tient pas dans la voie des pécheurs et ne prend pas place dans la société des railleurs. […] Car l’Eternel protège la voie des justes, mais la voie des méchants conduit à la ruine. »

 

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JacobLavan
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Mais ne vous attendez pas à ce que les choses se fassent facilement : des efforts seront exigés de vous. La conversion au judaïsme libéral n’est pas une conversion light Le judaïsme libéral, contrairement à ce que beaucoup de gens croient, n’est pas moins exigeant que le judaïsme orthodoxe en ce qui concerne les conversions. Il place seulement ses exigences sur d’autres points. Vous n’avez (peut-être) pas besoin de vous convertir… Tout dépend de vos souhaits et de vos objectifs : si ce que vous voulez, c’est assister aux cours et conférences, prendre part aux offices, en apprendre davantage sur le judaïsme, ou encore étudier l’hébreu biblique, il n’est absolument pas nécessaire d’entrer dans une démarche de conversion. Vous pouvez parfaitement adhérer à Kehilat Kedem et participer à ces activités sans pour autant vous engager dans une démarche active de conversion. Dans un premier temps, si vous n’avez pas d’attache particulière avec le judaïsme a priori, c’est d’ailleurs très certainement ce qui vous sera proposé : venez, participez, apprenez, et une fois que vous vous êtes fait une idée précise de tout ce qu’une conversion implique dans les faits, prenez votre décision et engagez-vous plus avant. Ou pas. Le choix vous appartient. … mais cela peut tout de même être utile. Vous pouvez très bien passer des années à participer aux activités de Kehilat Kedem sans pour autant vous convertir. Mais cela veut dire que votre implication demeurera limitée : tant que vous n’aurez pas achevé votre démarche de conversion au judaïsme, vous ne compterez pas au minian, ne pourrez pas monter à la Torah et ne pourrez pas prendre de responsabilités au sein de l’association. Pour ma part, ce dernier aspect a été une puissante motivation pour achever ma conversion. Préparez-vous à (beaucoup) étudier Dans un premier temps, vous allez devoir apprendre des bases de langue hébraïque, étudier la liturgie juive, vous familiariser avec le calendrier hébraïque et acquérir un vocabulaire spécialisé, riche et complexe. Cela ne va pas se faire tout seul. Si vous le souhaitez, vous pouvez suivre les cours d’introduction au judaïsme et d’hébreu biblique proposés par Kehilat Kedem. Vous pouvez également demander des cours particuliers à un rabbin ou autre enseignant. Mais quel que soit votre choix, sachez que tout cela représente beaucoup de travail. La conversion au judaïsme prend du temps Comptez un grand minimum de deux ans, à supposer que vous suiviez des cours d’hébreu et d’introduction au judaïsme toutes les semaines et assistiez à tous les offices ou presque. Pour la plupart des gens, la conversion au judaïsme représente plutôt trois à quatre ans. Pour ma part, elle a pris sept ans : il faut dire qu’au milieu de cette période, mon emploi du temps a été plutôt secoué par la naissance de mes deux filles. La vie juive en prend aussi ! On attend de tout membre de la communauté qu’il mène une vie juive. Cela signifie non seulement adhérer aux valeurs et aux coutumes du judaïsme, mais également s’inscrire dans la communauté, assister aux offices hebdomadaires et aux célébrations des fêtes juives, et ainsi de suite. Quand vous êtes en phase de conversion, il faut y ajouter le temps de cours et/ou d’études personnelles. Selon votre pratique personnelle et vos possibilités personnelles, attendez-vous à investir dans votre vie juive entre trois et huit soirées par mois, le double si vous êtes en période de conversion. La conversion au judaïsme est une forme d’acculturation La conversion au judaïsme n’est pas une adhésion à un credo prédéfini. Voyez-la plutôt comme l’apprentissage d’une culture étrangère, de ses rites, de ses coutumes, de ses habitudes, de sa cuisine et de son mode de vie. Comparez-vous à une personne immigrant dans un pays étranger et souhaitant s’y intégrer : apprendre la langue est une première étape mais ne suffit pas.   La conversion au judaïsme est une affaire de famille Votre conversion ne concerne pas que vous : si vous vivez en couple, il sera exigé que votre conjoint soit mis au courant de votre démarche. Il ou elle n’a pas besoin de vous donner son approbation mais vous ne pouvez pas vous convertir à son insu. Le judaïsme libéral reconnaissant la filiation juive pour les deux parents, vos enfants à venir (ainsi que les enfants en bas âge que vous avez déjà) seront considérés comme Juifs après votre conversion si vous êtes une femme; si vous êtes un homme, ils pourront être facilement convertis dans leur jeune âge si leur mère donne son accord et que vous vous engagez tous deux à les élever dans le judaïsme. La foi n’est pas indispensable… Le judaïsme ne vous demande pas de croire mais de pratiquer : ce qui se passe dans votre tête et votre cœur vous regarde seul. La foi, c’est entre D.ieu et vous. Personne ne viendra jamais vous demander si vous croyez en D.ieu, ni comment vous y croyez. C’est intime, personnel, secret. Et ça ne regarde pas la communauté. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’évolution spirituelle durant le processus de conversion; il y [suite]

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