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Étiquette : Bible

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12décembre
2021
cantique des cantiques et érotisme

Erotisme biblique : une étude du Cantique des Cantiques

12/12/2021
admin
Cours & conférences, Vidéos & audios
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Le Cantique des Cantiques (Shir Ha Shirim), considéré par Rabbi Akiva comme le plus saint de toute la Bible, est pourtant un écrit profondément érotique. Car si les passages consacrés à l’amour ou à la vie de couple sont nombreux dans la Bible, le Cantique des Cantiques ne parle pas d’amour spirituel, mais bien d’amour physique, quitte à flirter avec la pornographie.

Dans ce cours, le rabbin Yeshaya Delsace présente une étude, longue et détaillée, sur le Shir Ha Shirim, et plus généralement sur l’érotisme et la sensualité dans la pensée juive et le texte biblique.

https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/745_DALSACE.mp4

 

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Photo : Alexander Krivitskiy – Unsplash

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08novembre
2021

La Haftara de Vayétsé

08/11/2021
George-Elia Sarfati
Parasha & haftarah de la semaine
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Par Georges-Elia Sarfati
Versets haftarah Osée: 11,7 jusqu’à 12,12 et Osée12,13 jusqu’à 14,10

 

Les Sages ont choisi deux extraits du livre d’Osée pour nous faire réfléchir à certains enseignements particulièrement significatifs de la sidra Vayétsé. Les oracles d’Osée (-780-740) concernent le Royaume du Nord qui disparut sous les coups de l’empire d’Assyrie (- 722). Le livre qui les recueille porte l’une des plus virulentes critiques de l’idolâtrie (qualifiée de ‘’prostitution’’). Examinons en quelques lignes sous quel rapport ces paroles peuvent, le cas échéant, s’adresser au peuple d’Israël rétabli dans ses frontières, après les épreuves d’un exil bimillénaire.

Un verset fait explicitement référence au principal motif de la sidra Vayétsé, puisqu’il évoque les pérégrinations de Jacob à Aram, et son séjour prolongé pour y obtenir le droit de s’unir à Rachel : « (12, 13) Jacob s’était réfugié sur le territoire d’Aram, Israël avait été esclave pour une femme, pour une femme il avait été pâtre. »

Cependant le propos d’Osée se prolonge en direction de l’évènement plus tardif et fondateur de la sortie d’Egypte, en insistant sur le rôle libérateur de Moïse (bien que celui-ci ne soit pas nommé) : « (12, 14) … et c’est par un prophète que l’Eternel retira Israël de l’Egypte, par un prophète qu’il le protégea. »

Le royaume d’Israel contre le royaume de Juda en parallèle de Lavan contre Jacob

Il est remarquable que les paroles d’Osée constituent une valorisation de la fonction prophétique, dans un contexte historique, où précisément celle-ci ne pouvait pas être entendue, tant le Royaume d’Israël s’était éloigné de la Torah. Pourtant, de même que Jacob avait consenti à la servitude pour épouser Rachel, Moïse avait mis fin à la servitude des Hébreux, en partageant leur condition. Dans les deux cas, c’est la science prophétique qui leur avait servi de guide et de source d’inspiration pour leur action. Ce double rappel serait incomplet sans la mention d’un second motif, qui lui aussi entre en résonance directe avec Vayétsé ; il s’agit de la duplicité d’Ephraïm, fortement dénoncée : « (12, 1) – Ephraïm m’a obsédé de mensonge et de duplicité, la maison d’Israël, de même Juda (quoiqu’il prétende demeurer) soumis à Dieu et attaché au Très-Saint. » Précisons ici qu’Ephraïm est un autre nom du Royaume d’Israël, et ne désigne pas seulement la tribu du même nom. Osée évoque ici la tension délétère qui existe de son temps entre le Nord (Israël) et le Sud (Juda) ; mais il en tire argument pour dresser un parallèle avec la duplicité de Lavan, dont Jacob eut à souffrir. Pour recouvrer son indépendance et accéder à la maturité de la liberté, il dut s’affranchir du mensonge violent de Lavan. La connaissance de la sidra nous montre que de même qu’au temps d’Osée, Juda et Israël (Ephraïm) s’opposent sur le chapitre de la fidélité à la Torah, le différend entre Jacob et Lavan s’entretient aussi de la différence de leur conception. En effet, bien que parents, leurs philosophies de vie se contestent mutuellement, voire s’excluent : tandis que Jacob est héritier de la promesse et des bénédictions reçues par Isaac et Abraham, Lavan sacrifie aux idoles : l’épisode au cours duquel sa fille Rachel subtilise ses « pénates » (31, 19) représente une tentative pour l’en détourner.

A l’époque d’Osée, le différend qui creuse l’écart de la fidélité à la Torah, est bien plus périlleux, puisqu’Israël au nord, et Juda au sud, se sont séparés à la succession de Salomon, et n’ont cessé de diverger quant à la conduite des affaires collectives, sur fond d’enjeux de politique internationale mais aussi d’orientation culturelle et théologique..

Le clivage d’antan royaume d’Israel/royaume de Juda se retrouve au XXIe siècle

Les rapports du propos d’Osée avec les problèmes qui se posent au peuple d’Israël au XXIe siècle sont nombreux, sans doute ne tiennent-ils pas seulement à certaines analogies. Dans l’Antiquité, les enfants d’Israël étaient scindés en deux composantes nationales. Aujourd’hui, le clivage n’est pas seulement binaire, mais ternaire : le peuple d’Israël poursuit son développement, certes, mais ses continuités heurtées se déploient sur deux pôles : le pôle national, et le pôle cosmopolite (celui de ses dispersions persistantes), auxquels il faut ajouter une ligne de fracture plus générale, qui traverse ces deux pôles. Si tant est que la tension consiste dans le degré d’adhésion des enfants d’Israël à leur héritage mosaïque, force est d’admettre que ce qui est en jeu c’est en effet le degré de proximité que chacun d’entre eux conçoit dans son rapport avec la Torah. Plus encore : les différences menacent toujours davantage de se confirmer en différends irréversibles. Il existe aujourd’hui, dans le peuple d’Israël, des figures d’Ephraïm, en grand nombre, prompts à faire sécession, à s’ériger en substituts et délateurs de leurs frères, au motif qu’Israël doit être comme tout le monde. Seul un authentique mouvement du retour – indissociable d’une transmission responsable – est susceptible de fournir une réponse aux perplexités nées du déracinement. Ce mouvement constitue la véritable thérapeutique de la haine de soi : « (12, 6-7) – Oui, l’Eternel, le Dieu des Armées est son titre. O toi, reviens donc au sein de ton Dieu, sois fidèles à la droiture et à la vertu, et espère en Dieu constamment ! »

En Diaspora, ce sont les forces centrifuges de l’assimilation qui exercent une pression continue sur les psychismes. Dans l’Israël souverain, ce sont les tiraillements idéologiques liés aux nécessités d’un véritable débat d’identité nationale qui agissent comme des ferments de querelle. Ici et là, c’est également le complexe dissolvant de l’identification à l’agresseur, qui convainc nombre de fils et de filles d’Israël de se ranger du côté de leurs ennemis, lorsqu’ils ne prennent pas la tête des nouvelles croisades antijuives. Dans le même temps, on voit s’accroître au sein du Kelal Israel (l’assemblée d’Israel) des processus d’éloignement, de désolidarisation, qui rappellent dans certains cas le mensonge de Lavan, dans d’autres la duplicité d’Ephraïm, détournée de l’essentiel : « (12, 9)- Ephraïm aussi a dit : « Pourvu que je m’enrichisse, que j’acquière la puissance ! »

Peut-on concevoir idoles plus déroutants que la fierté mal placée d’un peuple plusieurs fois millénaire, s’enorgueillir par la voix de ses ‘’élites’’, de s’avancer dans l’histoire sous la guise d’une start up nation ? Est-ce là la véritable raison d’être d’Israël ?

L’esprit de prophétie, une spécificité exclusive du peuple d’Israel

Certes, si Jacob s’est éloigné de Lavan, comme Abraham de Lot, ce n’est guère pour en mimer le mode de vie. Du reste, Jacob et Lavan ne sont pas ennemis, ils sont susceptibles de s’entendre, au terme d’un pacte. Mais cette entente repose justement sur le principe de la différenciation et de leur identité et de leur territoire (31, 44-54). Les errements d’Israël proviennent de l’oubli de cette démarcation fondatrice. Or, c’est par le souffle transhistorique de l’esprit de prophétie que le peuple d’Israël a de nouveau fait souche sur la Terre d’Israël, et de ce point de vue l’histoire n’a pas fait mentir la prophétie : « (12, 10) – Et moi l’Eternel, qui fus ton Dieu à dater du pays d’Egypte, je te rétablirais dans tes tentes comme aux jours mémorables »; entendons ici: de toutes les Egypte. Mais en dernière analyse, que nous enseigne la sidra Vayétsé, et que nous rappelle son écho puisé dans les oracles d’Osée ? La réponse tient en peu de mots : la singularité d’Israël ne vient pas de ce qu’il s’incarne seulement dans une puissance égale ou supérieure à celle des autres nations, mais de ce que la Halakha se fonde sur l’esprit de prophétie. Cela nous est dit par deux fois cette semaine. D’abord par la sidra : « (32,2) – Pour Jacob, il poursuivit son voyage ; des envoyés du seigneur se trouvèrent sur ses pas. Jacob dit en les voyant : « Ceci est la légion du Seigneur ! » Et il appela cet endroit Mahanayim. » La colère d’Osée réitère avec éclat cette prémisse, à savoir que c’est l’esprit de prophétie qui représente la spécificité exclusive du peuple d’Israël, sa contribution unique et singulière, sa marque inaliénable, elle-même source possible d’une histoire sensée : « (12, 11) – Et je parlerai aux prophètes ! Et je multiplierai les apparitions et, par la voix des prophètes, je ferai connaître des visions (…) »

 

 

BiblehaftarahIsraelJacobJudaLavanOséeVayetse
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24octobre
2021
Patriarches et matriarches

Delphine Horvilleur : la saga des Patriarches

24/10/2021
admin
Culture, Vidéos & audios
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C’est par l’histoire singulière des patriarches (Abraham, Isaac, Jacob) et des matriarches (Sarah, Rebecca, Rachel, Lea) que commence l’histoire collective du peuple juif. Dans cette brève introduction au sujet, Delphine Horvilleur rappelle les principes essentiels à avoir en tête quand on aborde l’étude de ces passages de la Bible, et leur influence sur la culture juive à travers l’histoire, et jusqu’à nos jours. Un cours pour débutants, mais aussi pour ceux qui auraient besoin de se rafraichir un peu la mémoire quant aux fondamentaux des patriarches et des matriarches.

https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/1920_HORVILLEUR.mp4

Davantage de détails sur Akadem.

Photo : Giorgio Parravicini – Unsplash

AbrahamBibleDébutantIsaacJacobLeaRachelRebeccaSarah
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19octobre
2021
Vallée du Jourdain, en Israël

La haftarah de Vayéra

19/10/2021
George-Elia Sarfati
Parasha & haftarah de la semaine
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Par Georges-Elia Sarfati
II Rois Chap.4, 1-37. Rite séfarade : Chap. 4, 1-23

Pour gloser la Sidra Vayéra, qui relate le devenir parental d’Abram et Saraï, les Sages ont sélectionné un passage du Livre des Rois dans lequel se retrouve la formulation d’un scenario existentiel comparable à plusieurs égards. Mais ce choix textuel fait aussi apparaître des enjeux périphériques à ce noyau narratif qui donne à penser à partir du thème de l’engendrement. Le lecteur du XXIe siècle est fondé à extraire de ce passage une compréhension analogique de l’histoire d’Israël.

Trois versets font écho à la Sidra. Ils mettent en scène un bref dialogue entre Guehazi, serviteur du prophète Elishâ, et une femme Sunamite qui s’était dévouée pour eux, en leur offrant le gîte et le couvert, alors qu’ils passaient dans son village : « 4, 15-17 Il dit : « Appelle-la. » Il l’appela, et elle se présenta sur le seuil. Il lui dit : « A pareille époque, au retour de cette saison, tu presseras un fils dans tes bras. » Elle répondit : « Ah ! Mon seigneur, homme de Dieu, ne trompe pas ta servante ! » Cette femme conçut, et elle mit au monde un fils à pareille époque, au retour de la même saison, ainsi que l’avait dit Elishâ. »

A l’instar de Sara, «4, 14. (…) elle n’a point de fils, et son époux est un vieillard. ». Mais il ne faut pas ici séparer cet épisode de celui qui le précède. Avant de venir en aide à la Sunamite, les dons prophétiques d’Elishâ lui ont permis de tirer une veuve et ses fils de la misère et de la marginalité. L’intervention d’Elishâ a raison, comme dans le cas de Sara, des nombreux obstacles d’une naissance improbable. La consécution de ces deux épisodes semble nous parler des épreuves qui ont caractérisé l’exil d’Israël et des étapes  qui ont présidé à sa renaissance.

Une liberté retrouvée ou l’enfant d’une naissance improbable

Le devenir d’Israël, d’abord dessaisi des atours de sa souveraineté, mime au long cours les métamorphoses des deux personnages féminins : ce devenir fut durablement marqué par la précarité, et toutes les formes du désarroi (l’impuissance devant la possibilité de sa propre mort, la ruine due au pillage, l’insécurité liée à l’absence de protection, la dépendance à l’ égard de « créanciers » hostiles – les nations –, la privation de tout recours). Israël – aux dires même de ses prophètes – fut dans la même situation qu’une femme seule et sans défense, dont le patrimoine spirituel fut aussi menacé d’extinction  (elle ne possédait plus alors qu’« un vase d’huile »).

L’action bienfaisante du prophète fixe un modèle éthique : celui de la continuité de l’esprit de justice, comme s’il était dans l’essence du miracle de muer en principe de fécondité ce qui était destiné à se flétrir. Ainsi en a-t-il été des pérégrinations des âmes d’Israël, longtemps privées d’horizon, tenant seulement au monde par les liens verticaux de l’Alliance, puisant la possibilité de la paix aux sources de l’intériorité. L’enfant d’une naissance improbable ce fut le renouvellement de sa liberté collective recouvrée, qui permit à ceux de ses enfants qui en décidèrent de mettre un terme à leur « course ». Cette mutation constitue bel et bien la manifestation, après une mort annoncée, d’une imprévisible résurrection.

Mais il se trouve que la relation de ce dénouement heureux contraste grandement avec les accidents de l’histoire. A l’instar du récit de cet engendrement tardif – que toutes les circonstances et les données objectives concourraient à empêcher – les obstacles qu’ils constituaient résultant en effet le plus souvent de limitations et de restrictions sciemment conçues (lois, politiques, discours de médisance), alternant avec des épisodes de violence, les scribes soulignent une étonnante récurrence. Qui des adversaires doctrinaux de l’Israël moderne, n’a cherché à l’atteindre, et combien nombreuses furent les prières adressées au Créateur, où dans leur abandon les restes d’Israël en appelèrent à Son pouvoir d’intercession ? Il n’en est pas qui dès le moment même de sa venue au monde, n’essayèrent encore de le frapper à la tête : « (4, 18-19) L’enfant grandit. Or, un jour, il était allé trouver son père, auprès des moissonneurs ; il cria à son père : ‘’Ma tête ! Ma tête !’’. Dans l’histoire d’Abram/Abraham et de Saraï/Sara, c’est le Créateur même qui « traite » avec eux ; dans celle de la Sumanite, c’est le prophète Elishâ. A notre époque, le miracle ne fut pas moins éclatant, bien qu’en apparence, il fut le fait de survivants, au sortir d’une période de ténèbres : mais il fut accompli par tous ceux qui avaient gardé la mémoire des anciennes espérances.

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