2022
Mizmor LeDavid – Psaume 29
Mizmor LeDavid (Psaume 29) est un chant couramment entonné durant les offices de Shabbat. Il repose sur une structure particulièrement précise et significative : ainsi, par exemple, la voix de l’Eternel (Qol Adonaï) revient sept fois dans le poème et suit symboliquement un itinéraire du nord au sud, du Liban au désert du Cadès, mais également des hauteurs aux plaines. Le poème lui-même évoque d’abord l’Eternel, puis Sa création, et enfin le Peuple.
L’air le plus souvent utilisé au sein de Kehilat Kedem pour Mizmor LeDavid :
Quelques autres versions de Mizmor LeDavid
Illustration : Roy Abi Saad – Unsplash
2022
Qu’y a-t-il dans le Tanakh ? Par Yeshaya Dalsace
Tanakh (תנ״ך) signifie « כתובים – נביאים – תּוֹרָה» (Torah – Neviim – Ketouvim) et désigne l’ensemble des trois parties de la Bible hébraïque : la Loi (Torah), les Prophètes (Neviim) et les autres écrits (Ketouvim). Cet ensemble canonique correspond à la définition juive de la Bible, qui n’est pas identique à ce que les chrétiens nomment l’Ancien Testament. Dans cette intervention, le rabbin Dalsace revient sur ces notions et les précise.
Illustration : Mick Haupt – Unsplash
2022
Lekha Dodi
Lekha dodi (לכה דודי) est un cantique chanté le vendredi soir, afin d’acceuillir le shabbat, présenté comme une fiancée qu’on attend et qui vient enfin. Il fait écho à Qol Dodi, en présentant, ici encore, le rapport entre Israël et le Transcendant comme une relation amoureuse. Relativement récent en comparaison des autres textes liturgiques (il a été composé au XVIème siècle par Salomon Alkabetz, dont on retrouve d’ailleurs le nom en acrostiche des huit premières strophes), ce poème a rapidement connu un succès extraordinaire, dans toutes les parties du monde juif.
Version de Lekha Dodi couramment chantée lors des offices de Kehilat Kedem
Quelques autres versions de Lekha Dodi (attention : il y en a vraiment beaucoup, et dans tous les genres) :
Illustration : Alla Biriuchkova – Unsplash
2022
Comprendre la relation entre le judaïsme et Jérusalem
Si je t’oublie, Jérusalem…, chantent les Psaumes. Si le lien spécifique qui unit le judaïsme à la ville de Jérusalem est indéniable, il est complexe, multiple, et même parfois contradictoire. Dans cette courte présentation, le rabbin Philippe Haddad expose les points essentiels de la relation si particulière que les Juifs entretiennent avec la ville, tant d’un point de vue historique que d’un point de vue culturel ou liturgique.
Illustration : Sander Crombach – Unsplash