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Un millénaire de musique juive – Y-Studs A Capella

21/06/2022
admin
Culture, Vidéos & audios
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A l’occasion de la Fête de la musique, un medley, par les Y-Studs A Capella, de mille ans de musique juive. On peut en profiter pour réviser ses classiques, ou même faire quelques découvertes.

 

Les chants composant ce medley :

  • Barchu
  • Quando elray nimrod
  • Maoz Tzur
  • Ofyn Pripichek
  • HaTikvah
  • Shalom Aleich
  • Hava Nagila
  • Bei Mir Bis du sheyn
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  • HaFinali Balbeli
  • Shabechi
  • V’Ohavta
  • Boiee
  • One Day
  • Vehi Sheamdah
  • Yesh Tikvah
  • Yalili
  • Et Rekod (Mahapecha Shel Simcha)
  • Hashem Melech

Pour en savoir plus sur les Y-Studs A Capella.

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21juin
2022

Parasha Chela’h le’ha: vision et témoignage devant toute réalité – par Pauline Bebe

21/06/2022
admin
Parasha & haftarah de la semaine, Vidéos & audios
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Dans la parasha Chela’h le’ha, D.ieu fait envoyer par le peuple douze explorateurs à la découverte de la Terre Promise. Mais dix des douze explorateurs considèrent que conquérir le pays de Canaan est impossible : ils y décrivent la présence de géants monstrueux. Mais les deux autres, Caleb et Josué, assurent au contraire que la Terre Promise n’attend que les Hébreux. Le peuple, effrayé, s’en prend à Aaron, Moïse, Caleb et Josué; D.ieu menace de détruire les Hébreux et de les remplacer par une autre nation, issue de Moïse, mais celui-ci parvient à plaider la cause du peuple. L’Eternel condamne cependant la génération née en Egypte à mourir dans le désert, et décrète que seuls leurs enfants parviendront en Canaan, quarante ans plus tard.

https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/1597_BEBE.mp4

Illustration : Andreas Chu / Unsplash

Chela'h le'ha
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13juin
2022

Mascarade de la mémoire d’Auschwitz : anatomie de l’antisionisme universitaire – Yana Grinshpun

13/06/2022
admin
Culture
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On ne compte plus les conférences de philosophes, linguistes, historiens, psychanalystes annulées à cause de leur non-conformité à la morale universitaire. Les médias le font savoir, certains collègues universitaires protestent, d’autres subissent en attendant l’heure du départ à la retraite. Ainsi va ce brillant monde universitaire censé produire des savoirs et former des élites intellectuelles.

Mais voilà qu’il y un point qu’on n’aime pas du tout aborder à l’université. On fait tout pour éviter de publier les travaux d’analystes du discours, d’historiens, de spécialistes des médias ou de sociologues qui montrent comment l’antisémitisme s’est travesti dans les habits humanistes et vertueux de l’antisionisme. Certains experts responsables de revues de communication et d’analyse du discours, de collections universitaires respectables font des pieds et des mains pour censurer tout travail qui montre comment pendant des décennies les médias et le système éducatif français ont construit la représentation négative d’Israël et des Juifs qui y vivent. Et qui ont revisité l’histoire de ce pays.

Lire l’article complet sur perditions-ideologiques.com
Lire l’article complet sur L’Express

Illustration : Taras Chernus / Unsplash

Antisémitisme
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13juin
2022

Paracha Behaalotekha : un homme, une flamme, par Yann Boissière

13/06/2022
admin
Parasha & haftarah de la semaine
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Dans cette parasha, D.ieu indique à Aaron la manière de faire monter les lumières de la ménorah du Tabernacle. Une colonne de feu et une colonne de nuées guident les Israélites, l’Eternel Se manifestant ainsi au coeur du Peuple, qui pourtant se plaint, regrettant les mets d’Egypte. Myriam et Aaron eux-mêmes remettent en question l’autorité de Moïse. Myriam est frappée de lèpre pendant sept jours.
Le commentaire du rabbin Yann Boissière.

Illustration : Paul Bulai / Unsplash

Behaalotekha
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07juin
2022

Atelier Tenoua’ du 23 juin à Montpellier : avec Delphine Horvilleur

07/06/2022
admin
A la Une, Cours & conférences
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Atelier Tenoua’ avec Delphine Horvilleur

Temple Maguelone, 25 rue de Maguelone, Montpellier

23 juin 2022, 19h00

INSCRIPTION OBLIGATOIRE : ICI

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07juin
2022

Parasha Nasso : savoir compter les uns sur les autres

07/06/2022
Gérard Feldman
Parasha & haftarah de la semaine
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Ha Shem demande de faire le relevé (nasso) des enfants d’Israël pour savoir sur qui il peut compter. Moshe  obéit. Ce recensement apparait en contradiction avec le c.15 v 5 de la paracha « Lekh lekha » (Bereshit). Ha Shem dit à Avram : « regarde le ciel et compte les étoiles : peux-tu en compter le nombre ? Ainsi sera ta descendance. »

En raison de ce verset anti-recensement, le roi David dut se repentir d’en avoir ordonné un. Le grand roi fut puni (Chronique 1 – versets 21 -23) car il avait fauté par orgueil. Ha Shem lui imposa alors un choix cornélien entre trois maux pour se faire pardonner : la famine, la défaite ou la peste. Il se résolut à subir la peste : la maladie fit tout de même 70 000 victimes dans son royaume.

Augustin d’Hippone[1], et à sa suite l’Eglise, recycleront cette faute de David contre les tous les Juifs. Le philosophe et théologien chrétien les accusera globalement du pêché d’orgueil. L’antisémitisme en a fait une accusation majeure contre notre peuple accusé de se croire toujours supérieur aux autres.

Alors pourquoi ce recensement ?

Il ne s’agit pas ici d’une décision humaine. C’est ha Shem qui ordonne le recensement. On ne peut donc y voir aucune  prétention de quiconque.

Le  titre de la paracha (nasso) donne d’ailleurs une indication sur le sens de ce recensement. Recenser au sens strict renvoie plutôt au verbe  paqad (פּקד ) et non à nassa ( נשא ). Nassa (נשא ) signifie plutôt : porter, élever, relever. Ici, le recensement consiste donc à porter le peuple hébreu pour l’élever spirituellement. C’est pourquoi le texte comporte aussi l’inauguration du Tabernacle et la division du travail entre les tribus.

Pourquoi avoir besoin d’élever et de relever le peuple hébreu ? On le sait, avant même de se constituer, celui-ci avait déjà tourné le dos à sa raison d’être avec l’épisode du veau d’or. Ce n’est sans doute pas un hasard si la guematria de נשא est de 351. Ce chiffre fait clairement référence à l’idolâtrie : la somme des lettres de  אלהים אחֹורים (« Elohim a’horim » ou  « autres dieux ») est en effet aussi égale à 351.

Se mettre en ordre de marche

Nasso, c’est la constitution pratique des Hébreux et de leurs douze tribus. Celles-ci sont chargées de porter la Torah et le Tabernacle.

La voix de ha Shem parlait à Moshe entre les Kerouvim. Ceux-là même qui étaient chargés de garder l’Eden, afin d’indiquer à Adam et ‘Hava le niveau de spiritualité nécessaire à  atteindre pour retrouver les enviables conditions de vie du plus beau des jardins.

Selon la tradition, les Kérouvim ont le visage d’un garçon et d’une fille. Ils font référence au couple, c’est-à-dire à l’unité indissociable de l’homme et de la femme depuis la division de l’Adam en Ish (masculin) et Isha (féminin). Quand Ha Shem fait d’Israël sa fiancée, leurs ailes se déploient vers le haut pour enseigner que l’homme doit aspirer à s’élever afin de comprendre la sagesse du Maître du monde et Le servir du mieux possible. Leurs visages, tournés l’un vers l’autre, sont dirigés vers le bas en direction de l’Arche pour enseigner que la source authentique de sagesse est la Torah.

Rabbi Yaacov Kamenetsky (1891 – 1986 – américain d’origine biélorusse) signale que c’est le même terme qui désigne les Kérouvim, et les formes d’enfants à l’aspect d’anges, taillés à même le couvercle de l’Arche Sainte. Dans le contexte du Gan Eden, ils sont destructeurs. Ils en interdisent l’entrée. Mais, dans le contexte du Michkan (Tabernacle), ils représentent le pouvoir vivifiant de la Torah.

C’est une allusion à l’importance de l’éducation : selon la manière dont les enfants sont éduqués, ils peuvent devenir des « anges » ou des « démons ». D’ailleurs, d’après certains de nos maîtres, les Kérouvim n’inspiraient pas la confiance mais plutôt la peur – (Voir Cha’aré Aharon sur Béréchit 3, verset 24].

 Les quatre hygiènes de vie

L’éducation prônée par la paracha préconise d’orienter l’éducation dans quatre directions. Ce sont les points cardinaux de l’éthique :

– hygiène et santé du corps :

Il s’agit d’ isoler les lépreux et au-delà se protéger des maladies contagieuses.

– hygiène et santé morale :

Il s’agit de ne pas porter préjudice aux autres.

– hygiène et santé psychologique : respecter la femme adultère (ou soupçonnée de l’être).

Cet aspect parait aujourd’hui dégradant pour les femmes. Pourquoi la femme seule serait-elle coupable d’adultère ? Pourquoi ne pas s’en prendre à  l’homme infidèle ? Cela parait impensable à notre époque où l’infidélité elle-même n’est plus vraiment considérée comme une faute.

Pourtant, il existe bien une modernité de ce texte. Elle réside dans la nécessité constatée d’une protection particulière pour les femmes. Avant cette règle, le moindre soupçon de jalousie d’un mari pouvait être fatal pour une femme. Elle était rabrouée, battue ou même tuée. C’est malheureusement une pratique très répandue dans toutes les civilisations, et dans certaines encore plus que dans d’autres. Et jusqu’à aujourd’hui.

Avec l’épreuve des eaux amères, gérée par le Cohen, il y a institutionnalisation d’un  rapport privé. La femme ne reste pas seule avec son accusateur. De plus, l’absorption des eaux amères – un mélange d’eau et de poussière – ne peut en réalité causer aucun mal… La femme est donc, à tous les coups, lavée de tout soupçon.

De plus le verset (5,31) précise : « l’homme sera net de toute faute » pour pouvoir accuser sa femme. Précision importante : si l’homme est fautif envers sa femme, les eaux amères n’auront de toute manière aucun effet sur sa femme. Même si elle-même est aussi en faute.

–  hygiène et santé spirituelle ou le vœu de nazir.

Le nazir est celui qui s’isole des autres pour atteindre la sainteté. Shmouel (le prophète Samuel) et Shimshon (Samson) ont été des nazirs célèbres. Ils ont été consacrés à ha Shem par leurs mères stériles, heureuses de pouvoir enfin procréée, grâce à l’intervention de ha Shem. Yoseph (Joseph)  fut le premier nazir comme il est écrit dans devarim (paracha vezot – haverekha C.33 v. 16 ) : נזיר אחיו ou nazir de ses frères (Voir Yonathan Sandler – « Pour plus de lumière »).

Le nazir ne peut se rendre impur en touchant un mort. Il ne peut déguster aucun produit de la vigne, ni se raser. Le nazir s’érige ainsi en modèle du respect de la vie, mais il est aussi  mentionné qu’il ne peut le faire que durant une période limitée. Cette limite est un garant pour se préserver du fanatisme. Le but du nazirat est ponctuel. Il s’agit de racheter une faute ou de remercier pour un vœu exaucé. La fonction a un but « thérapeutique » comme le souligne Léon Ashkenazi ( « Leçons de la Torah »).

Ces quatre points d’hygiène sont tous d’une grande actualité. Une fois qu’ils les ont bien compris les enfants d’Israël peuvent recevoir la bénédiction de ha Shem. Elle se résume en trois points essentiels de la vie : protection, ‘hesed (amour ou  compassion) et paix.

Les tribus d’Israël peuvent alors présenter leurs offrandes et sacrifices, à commencer par celle de Yehouda (en ce qu’elle incarne une lignée royale) pour finir avec celle de Naphtali. Le texte peut alors paraître fastidieux et répétitif. Mais il indique une dimension essentielle de la pratique juive : la relation du particulier au collectif.

Chaque tribu particulière est nommée par le nom particulier de son chef, le nom de sa tribu, puis le texte reste absolument identique pour décrire la pratique de chaque tribu. C’est le sens du collectif. Le particulier ne se dissout pas dans le collectif, ni le collectif au nom du particulier. Il y a là une grande leçon critique à deux niveaux :

–  contre libéralisme total, appelé communément « loi de la jungle » où le particulier l’emporte au détriment du collectif.

–  contre le totalitarisme où le collectif dissout le particulier.

 

[1] Voir  son ouvrage « Contre Faustus » – livre XXII, chap. 66, composé entre 400 et 402 de l’E.C..

Nasso
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31mai
2022

Bamidmar ou Arithmoi : une double identité

31/05/2022
Haïm Cipriani
Parasha & haftarah de la semaine
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Le quatrième livre de la Torah porte deux noms. Il possède donc deux facettes, et de cette double identité nous pouvons puiser des réflexions très intéressantes et profondes.

Le titre hébreu, Bemidbar, signifie «dans le désert». Nombres est la traduction littérale du titre grec utilisé dans la traduction de la Septante, Arithmoi, qui est intitulé ainsi en raison des divers recensements dont nous lisons dans les quatre premiers chapitres du livre.

Regardons ces deux titres. Le nom hébreu du livre nous parle de desert. Or cette espace constitue une métaphore essentielle de l’esprit hébraique. La tradition juive suggère que pour recevoir la Torah il est essential d’être ouvert et vide comme un désert [Tanhuma Bemidbar 6:1]. Dans cette vision, les qualités essentielles pour une vie spirituelle intense et riche sont la créativité et l’ouverture totale. La faculté de conserver un ciel ouvert au dessus de nos pensées est ce qui permet de créer et d’innover de façon dynamique.

Mais un de mes Maitres, Rabbi Joseph Gelbermann z’l, disait que la créativité sans discipline est comme un mixeur sans couvercle. Ce genre de créativité ne peut terminer que dans le chaos.  C’est pourquoi nous avons le deuxième nom du livre, Nombres, qui évoque discipline et precision. Imaginons un musicien, qui interprète la musique dans un état d’abandon qui est exclusivement apparent. La réalité est que derrière sa performance il y a des dizaines d’heures d’exercices, de gammes et d’arpèges, en general travaillés au metronome qui marque le temps de façon inflexible.  Car la discipline seule est susceptible de libèrer la créativité.

Picasso disait qu’il lui avait fallu quatre ans pour peindre comme Raphaël mais toute une vie pour peindre comme un enfant. Avant de pouvoir libérer sa créativité il avait besoin d’acquérir la maitrise technique.

Cet deuxième aspect est en continuité avec le livre du Lévitique, qui précède Bemidbar. Le Lévitique est presque entièrement construit sur la loi, car il contient toutes les instructions minutieuses pour le fonctionnement rituel du Sanctuaire. C’est donc un livre de discipline avant tout. Avec Bemidbar, la Torah joint cet aspect à celui du désert. La Trascendence accompagne ce peuple nouvellement consitué dans un lieu dépourvu de frontieres, afin d’enseigner à Israël les limites de la loi et, en general, des structures rigides.

La dialectique entre discipline et créativité se poursuit lorsque, dans les premiers chapitres de Bemidbar, Israël se structure en tribus. D’une certaine manière, ce quatrième livre de la Torah évoque le processus de la Création, où le désert est une sorte de tohu vavohu, un lieu informe et vide. Comme la Transcendance a créé des formes et de l’ordre dans le chaos lors de la Création, les Israélites apprennent à se construire au milieu du vide du desert qui leur donnera la voix. Car midbar, qui signifie  désert », vient de la racine d-b-r, qui signifie aussi « parler ». Il s’agit aussi du livre où les enfants d’Israël s’éloignent de la voix du Sinaï, et se retrouvent enfin dans le silence du désert, où ils vont avoir la possibilité de faire résonner leur voix à eux, jusqu’ici presque étouffée par la Voix divine. C’est donc par cette parole qu’ils devront apprendre à se construire, car c’est le langage qui est au cœur de l’organisation sociale.

Bemidbar/Nombres est donc le lieu de la Torah où la discipline rencontre la créativité, l’ordre se combine avec le chaos. La vie spirituelle envisagée par le Judaïsme se construit à travers cet équilibre subtil.

Illustration : Juli Kosolapova / Unsplash

 

Bamidbar
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24mai
2022

Parasha Be’houkotai : l’art juif de l’anathème

24/05/2022
admin
Parasha & haftarah de la semaine, Vidéos & audios
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Que signifient exactement ces malédictions prononcées dans la parasha ? Ne sont-elles que des anathèmes ou ont-elles un sens plus profond ? Sophie Bigot-Goldblum explore ici le thème du « herem, de la Bible à Spinoza.

https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/5096_BIGOT-GOLDBLUM.mp4

Illustration : Yoal Desurmont / Unsplash

Be'houkotai
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24mai
2022

Moïse Mendelson : fondateur du judaïsme réformé

24/05/2022
admin
Cours & conférences, Culture, Réflexions, Vidéos & audios
0

Moïse Mendelson (1729-1786), figure majeure des Lumières allemandes, est considéré comme le père du judaïsme réformé. Défenseur de la liberté de conscience, de la séparation de l’Etat d’avec les cultes et de la non-implications de ces derniers dans la politique, Mendelson est un penseur important dans l’histoire du judaïsme qui, contrairement à Spinoza, a réussi à proposer des changements dans la mentalité juive sans pour autant entrer en rupture avec sa communauté.

https://akadem-vod.streaminternet.com/vod/2130_3_BOISSIERE.mp4

 

Judaïsme libéral
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